Tu es sûr, mon chéri, que ça ne te dérange pas, he
Datte: 17/07/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Sexe Interracial
Première fois
Auteur: grandalfo, Source: xHamster
... yeux fermés, et elle ne dit rien, elle semble concentrée. Je suis parvenu à l’enfiler malgré ma bite toujours un peu molle. Bizarrement, ce lundi-là, elle mouillait. Elle était vraiment très excitée, sa chatte toute mouillée mouille mon sexe et mon bas-ventre. Ma bite est toute moite, elle se perd et se plie contre son sexe ouvert et plus que moite, c’est presque pitoyable. Je m’y perds. Je finis par jouir lamentablement dans les poils de sa chatte. Elle se redresse et se lève d’un mouvement. Elle gagne la salle de bain sans un mot.
La semaine suivante, elle me dit comme ça :
— Alors, tu vois toujours ton Rafik ?
— Ben oui, on se voit au café comme d’habitude.
— Ah. Et il va bien, j’espère ?
— Oui, il va bien, mais à chaque fois, il me tanne, il veut encore venir te voir. Je lui avais pourtant bien précisé que tu n’avais accepté que pour une seule et unique fois.
— C’est vrai ? Le pauvre garçon, il ne doit pas avoir la vie facile. Il n’a pas de copine et avec ses études de médecine, il ne doit pas avoir beaucoup de distractions. Je m’en veux un peu de le faire souffrir.
Puis, un instant plus tard :
— Écoute, si tu es d’accord, dis-lui de venir jeudi prochain, je lui expliquerai de vive voix que je suis une femme mariée, qu’il ne faut plus qu’il y pense !
Le jeudi à 14 heures, Rafik est venu.
À 14 h 15, ma femme, les jambes relevées sur le sofa du salon, était en train de se faire troncher par Rafik en émettant des grands cris outrés. Rafik est ...
... vraiment persuasif.
Depuis, c’est devenu un rendez-vous hebdomadaire : le jeudi, Rafik vient baiser ma femme.
Un jour, je dis comme ça à Yvonne.
— Tu ne sais pas ce que m’a dit Rafik ? Il m’a dit qu’il aimerait bien t’enculer ?
Elle me dit :
— Alors ça, il manque pas de toupet, tu te rends compte, tu me vois faire ça ? Non vraiment, il exagère. Comment peut-il imaginer ça ? Il manquerait plus que ça.
Le lundi soir pourtant alors que je la prenais mollement, elle s’est soudain retournée, s’est agenouillée par terre, le buste sur le lit, la tête dans l’oreiller sans rien dire. Elle s’est cambrée, sa croupe offerte. Je n’ai pas compris tout de suite. J’ai écarté ses deux fesses, elle n’a rien dit, j’ai vu son petit trou du cul rose. Elle arrivait, je ne sais comment, à le faire palpiter, comme un signal qui répétait « Encule-moi, encule-moi ! ». Je me suis approché, j’ai essayé plusieurs fois de rentrer mon sexe dans son trou serré. Impossible, je bandai trop mollement, mon sexe se pliait et s’écrasait lamentablement. Elle a fini par se lever visiblement contrariée et est partie dans la salle d’eau : c’est sûr, elle était énervée !
Quand elle est revenue, déjà habillée, elle s’était calmée et m’a demandé de l’excuser. Je lui ai dit que j’étais vraiment désolé, que j’aurai voulu lui faire ce qu’elle voulait, mais…
Avec un peu de réticence, j’ai fini par dire :
— Tu pourras essayer avec Rafik si tu veux.
Le jeudi suivant, Rafik était en train de prendre ...