1. Tsunami à la Résidence Universitaire


    Datte: 17/07/2021, Catégories: h, fh, jeunes, copains, école, Oral pénétratio, fsodo, confession, amiamour, Auteur: Paulille, Source: Revebebe

    ... propre, j’ai enfilé mon boxer et je me suis mis au lit. Morphée m’a vite tendu les bras, et j’ai très vite succombé à la fatigue.
    
    Nous avions prévu de nous réveiller vers 10 h ce matin-là, en effet, Julie et Audrey devaient partir rejoindre leurs familles respectives pour les agapes du Jour de l’An. Flavie, comme moi, n’avions rien de prévu ce jour là. Nous nous étions donné la tâche de faciliter celle de nos amies, en nous consacrant au rangement, au ménage et à toutes les activités visant à redonner un aspect propre et net au coin de la résidence que nous avions utilisé pour la fête. Vers midi, les filles prirent ensemble le chemin du métro, nous laissant seuls, Flavie et moi.
    
    Dans une résidence universitaire, la constante est qu’il y fait toujours très, très chaud, le chauffage étant en général réglé sur le maximum. Par conséquent, pendant que nous travaillions, ni Flavie ni moi n’étions très habillés. Elle portait un grand T-shirt qui cachait difficilement son soutien-gorge et une culotte, quant à moi, mon short et un T-shirt étaient mes seuls vêtements. Une fois notre besogne achevée était venue l’heure de la douche, pour elle comme pour moi, mais nous avons fait une halte dans sa chambre. À la télévision, c’était l’heure des informations. Après les traditionnels reportages de 1er janvier, les feux d’artifice partout dans le monde, le résumé de la soirée sur les Champs-Élysées, l’immersion dans une équipe de sécurité et le plongeon de quelques irréductibles ...
    ... dans la mer glacée… voici que venait le moment des sujets sur le grand fait d’actualité internationale de la fin 2004, le tsunami dans l’Océan Indien.
    
    Les journalistes étaient arrivés sur place, on avait des images, des directs, des informations fraîches, des témoignages. Et ce sujet nous fascinait. Nous étions assis sur le lit de Flavie, elle le dos calé au mur par son oreiller, les genoux repliés, et moi au niveau de ses pieds. Tandis que nous regardions l’écran, j’ai senti le bout de son pied toucher ma cuisse nue. Puis une seconde fois. Je me suis alors tourné vers elle. Ses jambes repliées m’offraient une vue insolente et plongeante sur son entrecuisse caché par la culotte. En avait-elle conscience ? Ses attouchements du bout des pieds étaient-ils prémédités ? Toujours est-il que Flavie me souriait.
    
    Je lui rendis son sourire, et tendis ma main vers ses genoux. Si je m’étais fait une grosse illusion, je serai sûrement quitte pour une claque mémorable. Lorsque ma main se posa sur sa cuisse, j’avoue, j’attendais la baffe, mais elle ne vint pas, bien au contraire. Flavie ronronna, telle une chatte, et je vis aussi son poil se dresser, je lui procurais un frisson. C’est alors que je la découvris.
    
    Bien sûr, je l’avais déjà vue, mais jamais réellement regardée. De prime abord, elle ne me paraissait pas très jolie, mais finalement là, à cet instant, si, elle était magnifique, et hautement désirable. Assez petite, elle devait faire un mètre soixante-cinq, elle avait une ...
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