1. Mais oui, c'est elle !


    Datte: 19/05/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    ... soutif. Après tu lèveras ta jupe.
    
    – Cent euros, juste pour voir mes seins et ma culotte, c’est tout ? Vous ne touchez pas ? C’est sûr ? Ca demande réflexion. Oui, mais la personne va arriver.
    
    - Raison de plus pour ne pas traîner. Tiens, un billet avant, l’autre quand j’aurai vu. Ca marche ?
    
    – Pas possible, c’est trop facile. Eh ! bien, voici mes seins, ah celui-là ne veut pas se montrer, attendez, ça vient… là. Vous avez vu ?
    
    - Ne remballe pas si vite. Ils sont beaux, bien fournis et fermes. Je les grave dans ma mémoire. La culotte ? - Un instant, je referme mon corsage. Voilà, ma jupe est assez haute, vous voyez, c’est une culotte ordinaire, blanche. – Ce qui m’intéresse ce sont tes jambes, elles sont magnifiques, pourquoi les serrer comme ça ? Je suis assis, tu ne risques rien. Ouvre un peu
    
    - Quoi, je dois écarter les cuisses et j’aurai le deuxième billet ? Mais je garde ma culotte.
    
    – Si tu me l’offres, je te l’achète pour cinquante de plus.
    
    – Et après ? Non, il ne faut pas exagérer. Quand je n’aurai plus de protection, vous voudrez un peu plus et plus. e me contenterai des cent euros. Merci. Maintenant il faut que je me sauve, mon mari m’attend.
    
    – Tu es mariée. Le veinard a une reine de beauté. Je te regretterai. Ecoute bien, voilà ma carte de visite. Si tu as envie de te faire 200 euros, rends-moi visite samedi ...
    ... prochain à quinze heures, à cette adresse. Tu sonneras trois coups suivis de trois coups pour que je sache que c’est toi. Evidemment, pour cette somme, je voudrai plus qu’un simple coup d’œil. Laisse-toi tenter, tu ne regretteras pas. Ah ! C’est vrai, la situation est déséquilibrée. Tu n’as rien vu, alors regarde. N’aie pas peur, c’est ma queue ; elle te plaît ?
    
    -Ciel, ça existe ? Compliments. Je me sauve, on frappe à la porte
    
    - Tu veux toucher ?
    
    - Pas le temps. Au revoir monsieur.
    
    Elle n’a pas dit non. Elle a été sauvée par l’arrivée de la personne attendue. Elle sort. Une grande blonde entre, va au séjour, en ferme la porte. Je peux m’éclipser sans avoir été remarqué. Si la blonde avait eu plus de retard, que se serait-il passé ? Elvire se serait-elle vendue pour deux cents euros supplémentaires ? Elle a déballé ses nichons, elle a étalé ses jambes, écarté les cuisses pour que le bonhomme puisse se rincer l’œil et deviner la forme de son sexe. Ma femme serait-elle vénale et ce qui s’est passé aujourd’hui est-ce exceptionnel ? Combien d’autres fois, d’autres hommes ont-ils essayé de voir, de toucher et d’utiliser ses charmes ? A-t-elle déjà répondu favorablement à des offres d’argent ou a-t-elle touché des bites émouvantes et a-t-elle succombé à de pareilles tentations. Est-ce de cela que le propriétaire a menacé de m’entretenir ? 
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