1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1065)


    Datte: 17/07/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... profondément, vi virilement en un rythme aussi puissant. Ma bouche cherchait aussi à garder l’autre verge, celle que je suçais avec avidité, malgré les violents coups de reins dans mon cul de chienne. J’arrivais à maintenir en bouche ce sexe masculin qui me paraissait bien crémeux, alors que la longue enculade continuait de plus belle. Je parvins, donc tout de même, tant bien que mal à gober, à pomper au rythme des secousses irradiant mon cul et tout mon corps.
    
    Pendant ce temps, je recevais en plein visage le foutre de celui qui se branlait contre ma joue, et presqu’au même moment celui que je pompais me prit les cheveux et les tira fortement en arrière, et s’enfonça dans mon gosier, éjaculant copieusement… Sitôt avalé, un autre sexe se présenta à moi, toujours en bouche et je recommençais à sucer… Complètement avinés et chauffés à blanc, les Invités buvaient encore et encore, les chaises bougeaient sans arrêt, je sentais des éjaculats tomber sur mes reins, mes épaules, tandis que celui qui m’enculait sortait après avoir lancé ses jets de sperme chaud par saccade dans mon fondement, et il était vite remplacé immédiatement par un autre qui profita de mon anus très dilaté pour s’enfoncer sans ménagement à grands coups de boutoirs aussi virils que ceux de son prédécesseurs... J’en recevais de partout, je devais être recouverte de foutre, je sentais que cela coulait sur mes côtes, mes flancs et j’étais excitée au possible, comme rougie au feu, je me sentais devenir encore ...
    ... plus chienne, plus femelle en chaleurs jamais rassasiée… Je faisais feu de tous mes orifices, car entre deux enculages, j’étais prise par la chatte, et parfois par mes deux orifices à la fois tandis que des mains tripotaient mes seins, tétons et clitoris, ceux-ci étaient triturés, étirés, pincés… On se vidait en ma bouche, en mon cul dans la chatte, j’étais devenue un réceptacle à foutre, un vide-couilles…
    
    Je devenais un cloaque vivant quand soudain je sentis deux doigts se poser entre mes mâchoires et les desserrer fortement. Je fus obligée d’ouvrir la bouche et dans cette pause, je sentis qu’on urinait dans ma bouche, lentement, comprenant que je devais avaler, ce que je fis, puis les jets se firent plus longs, plus rapides, j’avalais aussi vite que je pouvais le faire, quelques tapes sur la joue comme pour me dire, « c’est bien » et tout cela sans que je sache qui était celui qui pissait dans ma cavité buccale... Arrivée assez tard dans la nuit, on me mit sur le dos et j’avoue que cela me soulagea beaucoup les reins. Toujours les yeux bandés, on m’écarta prestement les cuisses tandis qu’on posait sur mon clitoris un vibro qui se mit en marche aussitôt... Alors que j’étais sur le point de céder, une voix, Sa voix, se fit entendre au creux de mon oreille, comme la voix d’un esprit :
    
    - Je suis très très fier de toi Ma petite chienne, vraiment, continue ainsi de te retenir...
    
    Tournant la tête du côté de la voix, je répondis
    
    - Oui Maître.
    
    Le vibro était déchaîné, je ...