1. La rencontre


    Datte: 19/05/2018, Catégories: fh, fsoumise, hdomine, chantage, dispute, Auteur: Caroline2, Source: Revebebe

    ... coucher avec moi. Il arrivait après le dîner (il faut dire que ma grand-mère l’avait tout de suite catalogué « sale type » et lui sortait des réflexions pas vraiment agréables, donc il avait dîné une fois avec nous et n’avait jamais recommencé). Le week-end, il disparaissait, j’étais folle. Il m’assurait qu’il n’y avait pas d’autre femme, mais bon… Impossible de savoir de quoi il vivait, j’ai compris plus tard…
    
    Au lit, c’était du sexe non-stop jusqu’à minuit-une heure tous les soirs. Il se retenait comme aucun mec n’en est capable. Après une heure d’amour ou plus, il éjaculait pour repartir de plus belle un quart d’heure plus tard. J’étais morte ! Et je devais me lever à six heures trente ! Heureusement que je ne travaillais pas le mercredi, pour récupérer, mais il en profitait pour me prendre le matin, une fois dès cinq heures trente et jusqu’à ce que ma grand-mère frappe à la porte en disant :
    
    — Ta fille est réveillée, j’aimerais mieux pas qu’elle entende vos cochonneries.
    
    Et dominateur, avec des réflexions qui voulaient dire « T’as qu’un droit : te faire sauter ». Mais en dehors du lit, il était gentil. Et pas trop exigeant au lit, il suçait comme un dieu, mais ne me l’avait pas demandé. Du coup, je le lui avais fait de moi-même au bout de quinze jours. Mais, comme je m’étais arrêtée en cours de route, j’avais eu le droit à une réflexion :
    
    — La fellation, c’est frustrant si tu ne vas pas jusqu’au bout.
    
    J’avais répondu que j’avais horreur du sperme et il ...
    ... m’avait dit que donner du plaisir à son homme, c’était le rôle de la femme - sans le moindre humour ! Et pour bien me faire comprendre mes torts, il m’avait fait jouir yeux dans les yeux et avait réussi à éjaculer sans donner le moindre signe de plaisir. J’en avais pleuré. Il exigeait aussi que je lui raconte toute ma vie sexuelle passée. Un jour que je refusais de lui parler de David que j’aimais encore (et que j’aime encore un peu malgré tout), il sortit du lit et commença à se rhabiller.
    
    — Si c’est comme ça, je me casse.
    
    Je dus lui raconter comment David aimait me faire l’amour et il m’en fit autant. En plein orgasme, ce salaud-là me fit avouer que je ne jouissais pas si fort avec David qu’avec lui. C’était vrai, mais j’avais honte de salir l’homme que j’aimais encore et pourtant, malgré moi, j’aimais sa façon de me traiter de la sorte, ce salaud. Par contre, la seule fois où j’avais voulu qu’il me raconte la sienne (de vie sexuelle), je me suis fait rembarrer.
    
    Au bout de quatre semaines, il s’est pointé un lundi et m’a dit que son anniversaire tombait le mardi ! Je lui ai dit qu’il aurait dû me prévenir, que je prenne le temps de lui trouver un beau cadeau :
    
    — J’aime pas les cadeaux, si tu veux me faire plaisir, le cadeau, ce sera toi.
    
    Il m’a donné une lettre d’explications et m’a planté là, en me disant qu’il me prendrait en voiture le lendemain, à la sortie du boulot.
    
    J’essayai de le retenir, mais il me déclara :
    
    — T’inquiète pas, c’est pas une lettre ...