Tendres cousins
Datte: 19/05/2018,
Catégories:
hh,
jeunes,
Inceste / Tabou
grossexe,
vacances,
campagne,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Transexuels
intermast,
Oral
jeu,
init,
Auteur: Vie parisienne, Source: Revebebe
Cette histoire remonte à une vingtaine d’années. À l’époque je passais mes vacances chez mon oncle et ma tante dans le Lubéron. Les étés y étaient chauds et bien souvent on s’y ennuyait ferme. Nous partagions notre temps entre promenade et baignade dans la rivière jouxtant la propriété de mes cousins. Alexis et moi avions le même âge. Mais tandis que j’étais assez petit et mince, il était grand, blond avec un visage très tendre. Sa sœur Jeanne était un peu plus âgée. Elle était fiancée avec le boulanger du village Jean-Pascal, un solide gaillard d’une trentaine d’année et ne vivait plus chez ses parents où elles avaient cependant conservé quelques affaires et vêtements.
Alexis et moi étions très complice. On peut même dire que l’on faisait les quatre-cent coups ensemble. C’est comme ça que nous est venu l’idée de « voler » quelques culottes de ma tante et de ma cousine pour faire croire qu’un pervers était dans le village. Nous avions caché notre butin dans une grange à l’extérieur du village. Quelques jours après et devant la tournure prise par les événements, ma tante envisageait d’alerter la gendarmerie, nous avons décidé de détruire les « pièces à convictions » par le feu.
Nous sommes retournés dans la grange et avons retiré les culottes du tas de paille où nous les avions cachées. Il faisait chaud, c’était l’heure de la sieste et l’air bruissait de mille ailes d’insectes. Pourtant, c’était le calme absolu autour de nous. Personne. Ça me faisait drôle de détruire ...
... ces culottes qui étaient vraiment très jolies. Parmi nos trophées, deux culottes, celle de ma tante, une grande culotte en dentelle blanche, et celle de ma cousine un petit string noir en voile transparent me plaisaient beaucoup. Je m’amusais à les regarder, à les comparer tandis qu’Alexis se demandait où nous pourrions les brûler sans risque de propager un incendie. Je les portais à mon nez, humais l’emplacement de la vulve… il y avait encore, malgré la lessive, comme une petite odeur de pipi.
Je ne sais pas pourquoi je trouvais cela terriblement sale et excitant à la fois. Mon cousin me regardait faire, amusé. Soudain il me lança :
— Je parie que tu n’es pas capable d’en enfiler une !
Je ne sais pas pourquoi je lui dis qu’il n’avait qu’à le faire lui-même.
— Pffff , me dit-il, et alors, tu crois que je ne vais pas oser ?
Je lui tendis les culottes en lui demandant de choisir celle qu’il voulait mettre. Il hésita un peu, puis choisit celle de sa sœur, le petit string noir transparent. Je le laissais faire. Il me tourna le dos pudiquement, enleva son short et son slip et enfila le sous-vêtement de sa sœur. Je ne disais rien j’étais un peu gêné. Le string enfilé et ajusté, il se retourna face à moi. J’étais sans voix. Je n’aurais jamais imaginé voir ça. Je ne pouvais détacher mon regard de ce petit bout de tissu transparent qui ne cachait rien de l’anatomie de mon cousin. Son sexe était nettement visible sous la fine étoffe transparente et je trouvais cela très ...