Bon séjour !
Datte: 15/07/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
Inceste / Tabou
grosseins,
groscul,
Masturbation
intermast,
entreseins,
Oral
pénétratio,
occasion,
extraconj,
Auteur: Fulmen, Source: Revebebe
... string trempé.
Nous nous changeons et repartons en direction de Bordeaux, mes désirs en sommeil…
*******
Une heure plus tard, nous arrivons à Bordeaux et je me gare devant la petite maison d’Audrey et Philippe. Nous sortons de la voiture, encore étourdis par notre escapade et c’est avec surprise que je vois Audrey venir seule à notre rencontre. Je me penche pour lui faire la bise et sa poitrine énorme vient frôler mon torse. Impossible de faire autrement… Il faut dire que la nature a été très, très généreuse avec elle… Ses seins sont encore plus gros que dans mon souvenir, et c’est vraiment la première chose qu’on voit chez elle. Véro m’a dit une fois qu’elle voulait se faire dégonfler car elle était gênée, mais apparemment son mari s’y oppose. On peut le comprendre…
Pour le reste, elle est assez curieuse. Très volubile et gentille comme savent l’être les camerounaises, elle n’a cependant pas sa langue dans sa poche lorsqu’il s’agit de dire ses vérités à quelqu’un. Elle est plutôt mignonne avec un visage rond et souriant ; pas très grande, son corps est assez boudiné. Un fessier largeur XXL, bien rond, rétablit l’équilibre avec la poitrine. Une drôle de femme en vérité…
Après les salutations elle nous annonce que nous ne verrons pas Philippe qui est parti une semaine pour son travail. Une urgence de dernier moment, paraît-il. Dommage, je m’entends bien avec lui…
Après le repas, fatigué par le long voyage, je monte me coucher tandis que Véronique et Audrey ...
... restent à la cuisine pour se raconter deux ans de potins. Tout un programme… La voix des deux femmes ravive mes sens, et j’ai du mal à trouver le sommeil en pensant aux événements de la journée et au physique d’Audrey qui, décidément, ne me laisse pas insensible. La fatigue finit cependant par l’emporter sur la frustration et je m’endors profondément.
Lorsque je me réveille, les deux cousines sont parties en ville, comme me l’indique un mot laissé sur la table de la cuisine. Je me sers un café puis déambule sans but dans la maison déserte, repensant à Audrey. Je décide d’aller prendre une douche. Nu dans la cabine, mon regard s’arrête sur un bout de tissu noir posé sur le lavabo, dont le renflement bombé caractéristique ne peut être que celui d’un soutien-gorge. Je m’approche et constate la justesse de mes déductions. Il faut dire que, vu la taille de l’objet, il aurait été difficile de le rater… Je m’en empare et le retourne. Les dimensions des bonnets sont impressionnantes. L’étiquette annonce : 110F. Bigre… Mon sexe est déjà en érection. Reposant le soutif, je ramasse la culotte assortie qui était tombée. Pas d’étiquette cette fois, mais nous aurions pu rentrer à deux à l’intérieur…
Tout émoustillé, j’allume l’eau chaude et entreprends de me masturber longuement sous la douche.
Les jours passent ainsi, mollement, je suis sur une espèce de nuage entre ennui (il n’y a pas grand-chose à faire ici) et fantasmes. Pour me changer les idées, je décide un après-midi de ...