1. Marie-Laure 3


    Datte: 15/07/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: DXD, Source: Hds

    ... elle, tout en répondant à mon baiser avec la même ardeur. Je descendis lentement sur son cou, puis son décolleté, que je léchais, avant de revenir l’embrasser sur la bouche, tout en continuant de me coller contre elle avec force, soudant nos deux corps parfaitement dessinés. Pendant le baiser, Marie-Laure me retira mon jean, et me massa le sexe à travers mon caleçon. Sous l’effet du brusque plaisir qui me saisit alors, je me reculai brusquement et grognai :
    
    « On s’est assez embrassés, allons là haut pour passer à la suite. »
    
    Elle eut un sourire excité qui en disait long sur son accord. Je la saisis par le poignet, et l’entraînai dans l’escalier jusqu’à ma chambre. Pendant le trajet, elle retira son jean, et l’envoya valser dans le couloir menant à ma chambre. Je fis pareil avec mon t-shirt. Une fois dedans je tenais toujours Marie-Laure par la main, et voulus la tirer pour la jeter sur le lit, mais ce fut elle qui tira sur mon bras la première, et m’attira contre elle. Elle enroula un bras autour de mon cou, et m’embrassa langoureusement, d’un baiser si chaud et suave, que j’en perdis le souffle. Mais de son autre main, elle me saisit par mon sexe ultra-tendu à travers mon caleçon, et le serra fort. Je poussai un grognement de douleur, et voulus me débattre, mais elle serra encore plus fort, m’obligeant à rester tranquille.
    
    Elle me poussa ensuite sur le lit, et alors que je m’effondrai dessus, elle sauta sur moi, et s’installa à califourchon sur moi. Elle se mit à ...
    ... frotter son fessier sur mon sexe tendu, ce qui me fit bien sûr, vibrer de plaisir. Je bandais comme un fou, et en plus, je ne portais qu’un caleçon, et elle qu’un shorty, si bien que les sensations étaient décuplées. Elle me branlait ainsi si vite et fort, que si j’avais été moins endurant et expérimenté, j’aurais été au bord de la jouissance. En attendant, elle souriait d’un air narquois et satisfait, ravi qu’elle était de me faire ce qu’elle voulait. Elle avait le dessus sur moi, ça ne devait pas durer. Je me redressai, mais elle me saisit à la gorge, et me plaqua contre le matelas. Je voulus me débattre, et Marie-Laure devait savoir que dans l’épreuve de force, elle ne pourrait pas gagner. Elle glissa donc sa main dans mon caleçon, et me saisit à nouveau le sexe, le branlant énergiquement, tout en le serrant fort, me tenant à sa merci. Elle me retira ensuite mon caleçon, et s’empala sur moi d’un coup. Elle démarra alors de puissants va-et-vient, me donnant de gros coups de reins qui me culbutaient contre le matelas. Je voulus me rebeller, mais elle allait si vite et me maintenait si bien cloué au matelas avec ses bras, que je ne pouvais rien faire. Elle me toisait d’un air sauvage, et ravi, et je sus alors qu’elle exultait de prendre sa revanche.
    
    J’étais bien décidé à ne pas me laisser faire cependant : ne pouvant reprendre le dessus, je me mis à donner de gros coups de reins par en dessous, arrachant des cris à Marie-Laure. Elle répliqua en accélérant le rythme de ses ...
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