1. La bonne petite élève (4)


    Datte: 15/07/2021, Catégories: Hétéro Auteur: l'estello, Source: Xstory

    ... prendre du temps pour ça. Tu me laisses faire ?
    
    — Oh oui bien sur Monsieur, je me sens en confiance avec vous, faites comme vous voulez.
    
    Il n’en faut pas plus à ma bite pour retrouver de sa vigueur…je me lève et m’agenouilles devant elle. De mes mains j’écarte délicatement ses genoux afin de pouvoir m’avancer un peu plus vers elle, mon abdomen calé entre ses cuisses.
    
    — Myriam chérie, enlève ton tee-shirt
    
    La belle s’exécute. Je pose mes mains au-dessus de ses seins et je fais glisser mes doigts vers ses épaules. Je pince chacune des deux bretelles que je fais glisser le long de ses bras. Ma queue s’enfonce un peu dans le coussin du canapé alors que Myriam déglutit péniblement, comme si sa gorge était nouée par le stress. Je remonte mes doigts sur ses bras, ses épaules, sa gorge, puis je les descends vers ses seins, parcourant leurs masses charnues. Je m’arrête à la lisière du soutif, et lui dis de se pencher vers moi. Elle s’avance, et ce faisant je passe mes doigts sous ses bras, me penchant à mon tour vers elle.
    
    Mes doigts arrivent enfin sur les crochets de son soutif que j’enlève sans mal. Mais avant de découvrir ses seins entièrement nus, je veux goûter sa peau. Sa gorge, son cou, sa peau mate, son odeur, tout me fait chavirer, et je m’empresse de l’embrasser à pleine bouche, la faisant frémir et lui arrachant un petit gémissement. Je parcours son cou de sa gorge jusqu’à son oreille dont je tète le lob goulûment.
    
    Enfin, je me retire et en revenant dans ...
    ... ma position initiale mes doigts emportent en douceur son soutif noir. Je le dépose près de moi, et je contemple alors ses énormes seins, ronds, pleins, mais avec beaucoup de tenue. J’en examine chaque centimètre, de leur naissance au milieu de son thorax, à leur pointe. Et quelle pointe ! Noire, ou du moins très sombre, de grosses aréoles qui sous mes yeux se rétractent, de petits tétons en comparaison au reste, encore sans vie. Un grain de beauté sans relief vient orner le galbe interne de son sein droit. Tout est superbe et je reste là, immobile, à les contempler sans y toucher encore. Myriam me sort alors de ma douce rêverie :
    
    — Mon…Monsieur, ils ne vous plaisent pas ? Vous ne vous attendiez pas à ça ?
    
    Devant mon absence de gestes, la pauvre fille pensait que j’étais déçu !
    
    — Ma belle, ne t’inquiète pas, ils sont magnifiques et je vais les honorer, n’aie crainte.
    
    Chacune de mes mains s’empare alors d’un sein. Je les effleure d’abord dans leur partie la plus charnue. Puis je m’attaque à ses pointes qui aussitôt se tendent, se redressent fièrement, comme un chat le ferait pour chercher la caresse. Je veux goûter sa peau, et je me penche alors, dessinant le contour de ses aréoles avec la pointe de ma langue. Je perçois de doux gémissements s’échapper de la gorge de Myriam. Ma langue se fait alors plus large, plus rapide, plus inquisitrice pour lécher la totalité de ses tétons érigés. En les suçant, je les empoigne, les presse, les torts sous les petits cris de ma ...
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