1. Au camping... Dommage, c'était le dernier soir... (1)


    Datte: 15/07/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory

    ... grande serviette ?
    
    Je haussai les épaules et j’ai continué à marcher... mais il est venu à ma hauteur :
    
    — Ne fais pas ta pimbêche... j’ai bien vu comment tu me regardais ! Un noir avec une queue comme la mienne ça te fait envie ! Hein, ne dis pas le contraire !
    
    — Oh si... mais mon compagnon ?
    
    — Viens dans les douches avec moi... il n’en saura rien !
    
    C’est comme cela que je me suis retrouvée dans une des cabines de douches avec Cornélius...
    
    Dès que la porte a été refermée, il s’est jeté sur ma bouche et a écrasé mes lèvres sous les siennes, fouillant mon palais de sa langue que je trouvai bien douce et dure à la fois tant elle entrait loin... Ensuite, il a passé ses mains sous mes fesses et m’a soulevée pour se redresser et s’adosser à la paroi.
    
    J’étais comme une poupée de chiffon d’à peine 1.60 entre ses bras puissants mais je me sentais bien...
    
    Au diable Johnny... je n’allais pas laisser passer une telle bite sans y goûter !
    
    Je sentais son sexe entre nos deux corps et quand il m’a laissé redescendre, son vit s’est logé naturellement entre mes lèvres vaginales qui se sont ouvertes pour laisser entrer ce membre qui m’avait tant fait fantasmer ces derniers jours.
    
    Heureusement que Cornélius a freiné ma descente car j’ai brusquement manqué d’air tant je me sentais bien remplie...
    
    — Vas-y ! Doucement t’es ...
    ... tellement gros !
    
    Dès que j’ai été empalée, ma chatte s’est humidifiée et lorsque Cornélius a commencé à me faire monter et descendre sur son pal... j’ai senti le plaisir m’envahir.
    
    Je n’avais plus qu’une chose en tête : PRENDRE DU PLAISIR ! ME FAIRE DEFONCER PAR CETTE BITE !
    
    Et le plaisir est venu une première fois... soudain et si violent que j’ai dû me mordre la lèvre pour qu’on n’entende pas mes soupirs de jouissance.
    
    Puis Cornélius a recommencé à me faire monter et descendre sur son sexe qui allait tout au fond de ma chatte...
    
    Je le sentais buter contre ma matrice et je me moquais qu’il décharge au fond de moi ! Je prenais la pilule et j’étais dans une période inféconde !
    
    J’encourageais mon amant à mi-voix... Même s’il était 23 heures passées, quelqu’un pouvait avoir envie d’une douche...
    
    Lorsque j’ai senti son sperme jaillir au fond de moi, j’ai joui à mon tour mais là, je n’ai pu réprimer mes soupirs et mes cris de jouissance !
    
    Quand il m’a reposé à terre, Cornélius m’a remerciée en disant :
    
    — Tu voulais prendre une douche... je suppose ? N’oublie pas de nettoyer ta chatte ! T’es une bonne... tu le sais ? Bon retour chez toi... ça te fera un souvenir de vacances !
    
    Et il est sorti de la cabine... je l’ai entendu quitter le local en chantonnant...
    
    Lorsque j’ai regagné le bungalow, Johnny dormait déjà... 
«12»