1. Catherine, mère de mon meilleur ami (1)


    Datte: 13/07/2021, Catégories: Hétéro Auteur: MomsLust, Source: Xstory

    ... caresser ou de masser les gens, de faire en sorte qu’ils se sentent bien, en sécurité, même en dehors des rapports amoureux. Aussi commencé-je à exercer une faible pression sur les plantes de ses pieds. Elle se mord les lèvres et ne fait pas un bruit, mais j’ai l’impression que ce silence en dit long; l’air devient irrespirable, la tension sexuelle écrasante. Je remonte la plante pour arriver aux orteils, elle plie et déplie alors ses pieds pour profiter du massage dans différentes positions. Et ce qui devait arriver arriva.
    
    Son gros orteil entre en contact avec ma bite, il frotte tout doucement mon gland autour du frein. Je m’arrête net, pensant qu’elle va mettre un terme à notre petite aventure, mais elle reprend ses mouvements de pieds de plus belle, en pressant plus fortement encore ses orteils contre mon membre. Elle me rend folle, nos respirations deviennent difficiles. Elle lève le pied gauche, qui était occupé à caresser mes boules, et l’approche de mon visage. Je lui jette un coup d’œil, elle me fixe intensément, presque tétanisée dans l’attente de découvrir si je vais la suivre ou non. Je prends moi-même son pied droit pour imprimer le mouvement de frottement sur mon gland et me mets à sucer le gros orteil de son pied gauche. Elle gémit, rougit, son excitation monte pendant qu’elle me chauffe outrageusement; moi, le meilleur ami de son fils qu’elle connaît depuis la maternelle.
    
    C’en est trop pour nous deux, elle se retourne sur le ventre et me souffle :
    
    — ...
    ... Frotte-toi, Paul.
    
    J’empoigne ce cul, si gros, si bon, à pleines mains avant de venir m’allonger sur elle. Je me frotte comme une bête sauvage sur cette chienne en rut, j’ai l’impression que mon jean va exploser tant ma bite est compressée. La mère de Vincent le sent aussi.
    
    — Enlève ton jean et laisse-moi m’occuper de toi, j’ai envie d’être utile, je veux que tu m’utilises Paul, tu comprends ? J’ai besoin que tu te défoules sur moi. Je veux me sentir jeune, me sentir salope !
    
    Il ne faut pas me le dire deux fois. Je commence par écraser ses seins sous mes mains, trop petites, pour les prendre totalement. Je suis rude, cru, je pince ses tétons très fort à travers le soutien-gorge. Elle laisse échapper des gémissements, je continue à profaner sa poitrine en déchirant presque le col roulé. Elle n’en peut plus, elle veut ma bite. J’enlève mon jean d’un coup, mon caleçon avec, et découvre une érection énorme. Je me mets sur elle, encore sur le dos sur le canapé, et lui enfonce mon sexe dans sa gueule sans rien dire, en tirant sur ses beaux cheveux blonds pour la forcer à bien la prendre en profondeur. Elle manque de s’étouffer et recrache un filet de bave très épais qui coule sur ma bite et retombe sur ses seins maintenant nus.
    
    — Ca te plaît, Paul, de me faire du mal ? Que je sois ta chose ? Ta chienne ?
    
    Elle me rend dingue. Je grogne comme un animal sauvage, lui enfourne de nouveau mon sexe dans la bouche. Je suis incontrôlable, moi qui suis d’habitude plutôt calme ...