1. Voyeur de ma mère (1)


    Datte: 18/05/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: sexag, Source: Xstory

    Je m’appelle Florent, j’ai 21 ans en fac de lettres. Je vis avec ma mère divorcée. Elle s’appelle Karine 42 ans bien en chair, et une poitrine opulente et agressive dans ses soutiens-gorges remontant ses seins et moulant ses pulls.
    
    Ce matin en me levant, je me dirige vers les toilettes, la porte n’est pas verrouillée et en ouvrant, je suis en face de maman qui fait pipi, en nuisette, laissant apparaître sa poitrine non soutenue mais apparemment bien ferme.
    
    — Oh, excuse-moi, tu pourrais ferme ta porte. Tu m’offres un spectacle inhabituel, ce n’est pas désagréable, je resterais bien regarder.
    
    — Allons petit voyeur, ferme cette porte, j’ai presque terminé
    
    Je reviens donc dans ma chambre en attendant que les toilettes se libèrent mais cette vue du pubis poilu de ma mère m’a terriblement excité et je sens que je commence à bander.
    
    C’est vrai que de deviner souvent ses gros seins sous ses habits m’a toujours fait de l’effet. Quand elle s’asseyait devant moi au salon, j’étais toujours attiré par ses grosses cuisses gainées de bas noirs, sa jupe remontée par sa position. Il m’est également arrivé, n’y tenant plus, d’aller me branler dans ma chambre devant une vidéo porno montrant des grosses avec des gros seins.
    
    Au petit-déjeuner, je suis assis en face de maman, elle est toujours en nuisette et je n’arrête pas de mater sa poitrine. S’en aperçoit-elle ? Je ne sais pas.
    
    — Ça t’a choqué Florent de voir ta maman faire pipi ?
    
    — Oh non, au contraire, j’ai trouvé ...
    ... cela très excitant, je serais resté plus longtemps
    
    — Ne dis donc pas de bêtises, je suis ta mère, tu ne vas pas devenir voyeur de maman ?
    
    Je me lâche :
    
    — J’ai toujours fantasmé sur ton corps et en te voyant inopinément, presque offerte les cuisses écartées, cela m’a fait de drôles de sensations.
    
    — Allons, arrêtons cette discussion même si elle n’a rien d’incongru entre deux adultes mais de mère à fils, c’est plus délicat. Je vais me préparer car je risque d’être en retard au bureau
    
    Ma mère partie, je file dans ma chambre et me remets à me branler cette fois uniquement en pensant au corps de Karine. Ce cul, cette chatte offerte, ces seins que j’imagine avides de caresses ne tardent pas à me faire jouir.
    
    Toute la journée à la fac je n’ai pensé qu’à ça, observant mes copines les plus enrobées.
    
    En rentrant à la maison, maman est là préparant le dîner.
    
    — Ah, te voilà Florent, je t’attendais, je n’arrive pas à ouvrir cette boîte de conserve, j’ai cassé la clé.
    
    — Attends, donne-moi un ouvre-boîte, je vais essayer de rattraper l’ouverture
    
    A côté d’elle je m’affaire avec l’ouvre-boîte et j’ai une vue plongeante sur sa poitrine, sur la raie de séparation de ses seins.
    
    Même si la discussion de ce matin a tourné court par pudeur familiale, je trouve que ma mère n’était pas particulièrement offusquée que je lui avoue le fantasme que me procurait la vue de son corps et de son intimité.
    
    — Allons Florent, je vois que tu continues ton voyeurisme tu n’arrêtes ...
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