1. Léa, Chloé, Marie, Mathilde et les autres… (6)


    Datte: 11/07/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: imaxparis, Source: Xstory

    Désormais, j’ai mon harem que je compte bien agrandir avec la complicité de mes trois jeunes femmes. Mais pour l’instant, elles n’ont qu’une préoccupation en tête : la défloration du cul de Marie. Elles m’en font part.
    
    Leur obéir serait enfreindre mes règles. C’est moi qui dois décider, et non elles. Courroucé, je leur annonce qu’elles vont être punies pour cette impertinence. Je leur ordonne de se rendre à la cave. Elles sont effrayées.
    
    Dociles, elles se laissent faire quand je leur attache les mains à une canalisation qui passe au plafond. Elles se retrouvent les bras tendus en l’air, la pointe des pieds touchant à peine le sol. Dans cette position, leurs belles poitrines sont bien relevées et très accessibles. J’empaume leurs seins l’un après l’autre pour en apprécier la texture ; un vrai délice tellement ils sont fermes. Je me mets alors de côté et pendant près de cinq minutes je vais les flageller avec une corde qui traînait dans la pièce.
    
    Heureusement, la maison est isolée, car elles vont crier et me supplier d’arrêter ce supplice pendant tout ce temps. Trois cents secondes, ce fut court pour moi ; j’aurais bien continué ; mais long pour elles.
    
    Je leur baise la bouche chacune en signe d’apaisement, et je les détache. Nous repartons dans ma chambre après être passés au préalable par la cuisine où je récupère la bouteille d’huile d’olive. Je demande à Marie de se mettre à genoux, la tête posée sur le sol, et de bien écarter ses fesses. J’oins alors son anus ...
    ... en versant généreusement de ce corps gras naturel.
    
    Je fléchis alors les genoux et je colle mon vit sur sa corolle. Je pousse, un peu trop fort, elle crie que cela lui fait mal. Je lui élargis le fion avec mes doigts en augmentant au fur et à mesure le nombre que j’y mets. Je refais une tentative. Cela passe...ses deux sphincters sont franchis. Je vais alors pilonner son fondement pendant un temps très long où je vais la faire hurler de douleur, puis de bonheur surtout, quand Léa se sera glissée sous elle pour lui brouter le minou. Trois orgasmes plus tard ; autant que pour Chloé ; je jouis dans son cul dont je ressors pour me faire nettoyer la verge par la bouche avide de ma sœur qui n’attendait que cela.
    
    Au petit matin, je me réveille seul dans le lit avec Marie. Elle dort profondément sur le côté. Du sperme séché macule son anus. Je vais pisser et au passage je vois que ma sœur et Chloé dorment dans les bras l’une de l’autre.
    
    Je reviens dans ma chambre. Marie m’y attend, nue, assise sur le lit, ses cheveux défaits, ses joues noircies par le rimmel qui a coulé de ses yeux. Elle est sublime dans cet état naturel, les bras écartés, en attente.
    
    — Tu peux continuer mon dressage ! bafouille-t-elle. Tu m’as déflorée, tu m’as démoli la chatte et le cul, tu m’as fouettée, c’est ma gorge maintenant que tu veux ; Chloé m’a expliqué.
    
    Je m’approche d’elle, le sexe à la hauteur de sa bouche. Nul besoin de parole, elle comprend vite et m’embouche immédiatement. La peur du ...
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