1. Oeil pour oeil , femme pour femme


    Datte: 11/07/2021, Catégories: Première fois Auteur: Accent, Source: Hds

    ... réels, je passe ma main entre les jambes, réelle est aussi la chair de la vulve, réelle et chaude. Je ne peux m’empêcher de déposer des baisers fiévreux sur le mont de Vénus, plus bas, sur le début d’une fente où mon index va cueillir un filet de liquide. La mémoire me revient, la quasi paralysie me quitte, j’agite mon index, la vulve s’ouvre, les nymphes apparaissent et à leur sommet je déniche un noyau plus dur aux fugaces disparitions.
    
    -Lève-toi, mon chéri, allons au lit.
    
    Debout, je suis déshabillé avec des gestes maladroits et tremblants. Nos torses nus se frôlent. Ma verge libérée va frapper la toison blonde. Une main s’en empare et me masturbe gentiment pendant que la bouche de Nathalie attaque mes lèvres. Mes mains tâtent les seins, enserrent la taille, attirent contre le mien ce corps aux courbes merveilleuses qui s’abandonne. Imperceptiblement, toujours amoureusement enlacés nous traversons le salon et arrivons dans la chambre à coucher. Nous roulons sur le couvre-lit.
    
    Je ne sais pas comment Nathalie s’est préparée au mariage. Elle choisit de se coucher sur le dos, ouvre ses jambes et, tenant mon pénis dans sa main, elle me guide sur elle et présente mon gland à son sexe.
    
    - Attends, je m’ouvre bien, frotte l’extrémité de ton sexe sur mes petites lèvres. Parcours mon sillon. Sens-tu, vers le bas la chaleur de l’entrée de mon vagin? Oui, pose-toi là. C’est le moment.
    
    Eh! Oui, je sens. Les frottements du bout de mon pénis savamment dégagé du prépuce ...
    ... m’ont énervé, la chaleur entre les lèvres appelle la recherche plus profonde. L’obstacle qui barre l’entrée est souple.
    
    - Pousse…Ne t’inquiète pas, mon hymen va céder. Il devrait y avoir un peu de sang. C’est normal m’a dit ma mère…Je tends mon ventre vers toi, pousse encore. .. Oui, heu, encore. ..Ha, Louis, aime-moi.
    
    D’un coup ma verge gagne du terrain, pénètre. Le bas-ventre sous moi s’aplatit sur la couche. Nathalie m’embrasse et recommande :
    
    - Ne bouge pas. Ça fait un peu mal, tu es en moi. Je t’aime.
    
    C’est un instant divin, je suis en elle, immobile, dans l’attente de son souhait suivant. La sensation de bien-être dure. Seules nos bouches célèbrent l’union accomplie par des baisers tendres.
    
    - Non, ne te retire pas. Le couvre-lit gardera le souvenir de notre première union, je le garderai précieusement marqué du sang de ma virginité. Maintenant, avec douceur, bouge en moi.
    
    Qu’il est bon d’obéir à ce genre d’ordre. Mon aiguillon gonflé de sang, dur à point, peut désormais aller et venir dans cette caverne mystérieuse. Il y fait bon, je me laisse aller au mouvement instinctif, Nathalie accueille, reçoit, embrasse sans fin et souffle de plus en plus fort. Elle participe activement, me serre entre ses jambes, croise ses pieds sur mes reins. La vierge laisse place à la femme. L’attente a été longue et mérite un plaisir intense. Quand elle geint, il me pousse des ailes, j’entre et je sors à un rythme accéléré. Il faut une pause. Nous prenons notre temps. ...
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