1. Débarquement


    Datte: 10/07/2021, Catégories: fh, extracon, Oral 69, pénétratio, historique, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... informations.
    
    Audrey se dit que puisqu’il faut attendre, autant le faire de manière plaisante. Visiblement Henri pense la même chose. Ils s’embrassent amoureusement et se dévêtent rapidement éparpillant leurs effets aux quatre coins de la pièce. Ils débutent par force câlineries et embrassades sur tout le corps. Ils passent ensuite une phase plus consistante, en faisant l’amour tous deux allongés côte à côte sur le lit. Il vient ensuite sur elle quelque temps avant de se retirer et de doucement masser l’intérieur de son vagin avec deux doigts. C’est ensuite elle qui vient sur lui. Ils changent ensuite régulièrement de position. Entre chacune, il la pistonne de ses doigts. À chacune de ces étapes, leur relation est plus âpre. Après qu’il décharge une troisième fois en la prenant en levrette presque bestialement, il lui enfile la main, à l’exception du pouce, dans la chatte et la baratte vivement en se servant du pouce pour lui astiquer le clitoris. La dame goûte fort ce procédé pourtant musclé. Deux heures passent ainsi très plaisamment. À regret ils se rhabillent et elle part vers la cour pour attendre avec les autres femmes l’arrivée des prisonniers.
    
    Ce qu’ils ignorent, c’est que Patricia a été témoin d’une large part de leurs ébats. Elle voulait poser quelques questions au canfrais, auxquelles dans l’émotion des derniers événements, elle n’avait pas pensé pendant leur discussion. Quand elle arrive devant la porte d’Henri, celle-ci n’est pas complètement fermée. ...
    ... Des bruits de voix s’échappent. Elle reconnaît celle d’Audrey. Elle n’hésite pas plus que la première fois à glisser un œil dans l’entrebâillement de la porte, mais contrairement à celle-ci où elle n’était restée que quelques minutes, elle demeure jusqu’à ce que la séparation des amants la contraigne à s’éloigner. Cette petite séance de scoptophilie l’a mise en émoi. Tout en observant la gymnastique du duo, elle ne peut se retenir de machinalement glisser une main sous sa jupe et de se tripoter et s’astiquer le minou. C’est la première fois qu’elle s’abandonne à ce genre de pratique. De toute manière pense-t-elle, quand elle s’en rend compte, Ian ne pourra profiter de ses bonnes dispositions et calmer le feu qui l’habite. Elle poursuit donc. Quand elle retourne vers ses foyers, le visage plutôt rouge, ses doigts sont gluants à souhait. Heureusement elle ne rencontre personne sur son chemin, car en plus ils dégagent une odeur révélatrice.
    
    Les familles attendent avec impatience l’arrivée des hommes, car, hors Patricia, nul ne sait qui est vivant mort ou blessé. Même celles qui ne sont pas logées à la caserne et qui ont été prévenues par la femme du commandant qui a envoyé sa domestique les avertir. Quand ils arrivent enfin, c’est le soulagement pour certaines, la crainte pour d’autres qui ne voient pas l’époux parmi les arrivants.
    
    Après avoir embrassé sa femme, le commandant prend le papier qu’il a établi avec tous les renseignements qu’il a pu réunir, mais ce n’est pas ...