1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (13)


    Datte: 10/07/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory

    Si vous avez manqué le début.
    
    Je m’appelle Patrick et je suis en vacances pour deux semaines à Bordeaux chez ma tante Véronique très bcbg, sœur de ma mère Anne.
    
    Elle a 42 ans, divorcée, 2 enfants, 1m72 pour 55 kg et moi, 23 ans 1m80 pour 75 kg étudiant.
    
    Depuis son divorce, ma tante a du mal à joindre les 2 bouts. J’ai contacté un ami qui m’a indiqué une sorte de cercle très fermé en Suisse. Nous avions participé à un spectacle amoureux devant un homme riche accompagné de son fils. Bien rémunéré, ledit père a proposé par la suite une relation entre son jeune fils vierge et ma tante.
    
    En fin de matinée, les enfants de ma tante arrivèrent pour son plus grand bonheur. Leur père repartait aussitôt, véritable mufle en puissance. La journée se déroula paisiblement, Oscar et Jules batifolant dans la piscine et ma tante s’affairant à défaire leurs valises.
    
    Je passais finalement mes vacances entières chez elle, aidé ma copine factice, inventée de toute part pour semer le doute envers mes parents.
    
    Les enfants couchés, Véro redescendait avec désormais ma tenue préférée, c’est à dire en robe de chambre et uniquement vêtue de sa chemise de nuit. Elle engagea la conversation autour de deux verres de rosé.
    
    — Cool nous sommes tous les deux. Dit-elle en m’enlaçant au moment de s’asseoir.
    
    — Euh j’ai regardé tes mails, tu en as reçu un de ta boîte et je l’ai lu, tu ne m’en veux pas.
    
    — Mais non… En allongeant ses jambes sur mes cuisses.
    
    — Eh fais gaffe quand même ...
    ... avec les garçons !
    
    — Mais ils dorment…Alors ce mail ?
    
    — Bah…tu aurais dû le lire mais tu es convoquée fin du mois dans le cadre d’un licenciement économique.
    
    Véro se leva pour aller le lire et revenait les larmes aux yeux en se mettant sur mes genoux en guise de consolation. Je n’osais aucun geste déplacé vue la gravité de la situation.
    
    — Je m’y attendais. Le siège est aux USA et ils préfèrent délocaliser, nous étions déjà une succursale. Voilà tout.
    
    — Eh merde… Dis-je en l’enlaçant par la taille.
    
    — Oui tu l’as dit ! Réconforte-moi un peu.
    
    — Bon avec le bagage que tu as, tu vas retrouver facilement Véro et tu parles anglais en plus.
    
    — Oh j’en ai marre de tout ! Oui je vais chercher mais pendant ce temps, il y a les jours de carence durant lesquels je n’ai pas de salaire à partir du moment où je suis au chômage. Bon tu me réconfortes… En ouvrant sa chemise de nuit.
    
    — Avec nos exploits helvétiques, tu en as du pognon de côté.
    
    — Oui mais il y a ta part Patrick ! S’emporta-t-elle.
    
    — Je te la laisse. Dis-je en lui passant ma main sur sa joue.
    
    — Je ne sais pas quoi dire. Ajouta-t-elle en posant sa main sur la mienne.
    
    — Ca va aller, tu es intelligente et forte.
    
    — Tu dis ça mais je n’ai pas 36 solutions ! Et puis il y a l’histoire du gosse qui veut coucher avec moi. Dit-elle pleinement désabusée.
    
    — Ah ce sujet, l’allemande qui s’occupe de tout m’a parlé du type. Il s’appelle de monsieur Suzu, un japonais richissime et son fils qui se prénomme ...
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