Quelques jours dans le Sud
Datte: 09/07/2021,
Catégories:
fh,
2couples,
vacances,
douche,
Oral
pénétratio,
couple,
Auteur: Franckstephanie, Source: Revebebe
... yeux. Il n’y avait plus que moi. Si je n’avais pas eu ce goût salé dans la bouche, j’aurais pensé à un rêve. Je me suis relevée, j’ai fait couler l’eau, et je me suis douchée. Ma main s’est attardée sur mon sexe. C’était une vraie fontaine. Je me suis séchée, j’ai vite mis ma robe et je suis rentrée à la tente. Je n’avais aucune honte, aucun remords ; je voulais que tu me fasses l’amour…
Ma bouche était remontée vers ses seins, puis sa bouche. Je l’embrassai, et m’enfonçai doucement en elle. Elle ouvrit les yeux. Ils étaient brillants et pleins d’amour.
— Je t’aime…
— Moi aussi, je t’aime. Je n’arrive pas à t’en vouloir ; c’est comme si c’était irréel. Je te trouve tellement belle et désirable ! Je suis tellement bien au fond de toi, mon sexe au fond de ton corps trempé. Et alors, ensuite ?
— Ensuite, c’était tellement bon de faire l’amour avec toi, nos instants d’amour, que tout cela m’est sorti de la tête. Quand nous sommes retournés aux douches, je n’y pensais pas. Au moment où j’ai refermé ma porte, je l’ai vue. Elle entrait dans le bâtiment. J’ai laissé la porte légèrement entrouverte pour observer. Je l’ai vue s’arrêter devant ta douche et se déshabiller. Elle est vraiment belle ; je ne sais pas quel âge elle a, mais elle dégage une sérénité, une confiance en soi impressionnantes. On sent qu’elle sait plaire, qu’elle sait ce qu’est être une femme, qu’elle sait baiser, qu’elle sait obtenir ce qu’elle veut. Elle a fait quelque chose sur la porte et elle est ...
... rentrée. Je n’en revenais pas. J’ai entendu l’eau qui coulait, alors je suis sortie. Je ne comprenais pas pourquoi je ne t’entendais pas. J’ai regardé par la porte et je vous ai vus. J’ai vu tes yeux fermés, et je me suis douté que tu pensais que c’était moi. J’ai senti l’homme qui s’approchait de moi. Il était nu. Je l’ai regardé ; il m’a fait signe de rentrer dans la douche. J’ai obéi. Je ne comprenais pas ce qu’ils voulaient faire, mais j’avais perdu mon libre-arbitre : je n’étais qu’obéissance. J’ai vu la femme se baisser et te prendre en bouche. J’ai regardé l’homme. Il a baissé la tête, comme pour acquiescer. Je t’ai embrassé. Je ne savais pas trop ce qu’il se passait. Je savais juste que je t’aimais, et que cette bouche que j’embrassais, ce corps qui vibrait de plaisir, c’était le mien, c’était celui de l’homme que j’aimais. Nous nous sommes regardés. J’ai vu ton étonnement. J’ai voulu te réconforter, te dire que j’étais là, que je t’aimais. Tu as fermé les yeux. J’ai regardé derrière. J’ai vu l’homme qui se rapprochait, son sexe dressé. J’ai compris qu’il te voulait. Son regard me montrait que je n’y pouvais rien, que c’était comme ça, la suite logique. Il m’a fait signe de descendre. Je l’ai fait ; je t’ai pris dans ma bouche, comme je l’avais pris lui avant, pour te donner tout mon amour. Et je l’ai senti. Je l’ai senti venir en toi, j’ai senti son énorme sexe qui rentrait en toi, je t’ai senti frémir, j’ai senti ta douleur, et ton plaisir aussi. Je t’ai avalé, je t’ai ...