Jacques, loin des hippies - Histoires de Sexe

Jacques, loin des hippies

... lorsque Jacques la pénètre à la fois avec douceur et vigueur. Une décharge électrique lui vrille le ventre. Ce plaisir ne fait qu’augmenter lorsque Jacques commence à se mouvoir en elle. Elle s’agrippe à lui comme pour le retenir. C’est ainsi qu’elle est emportée jusqu’aux confins de la jouissance. Son orgasme sonore libère la jouissance de Jacques qui lâche prise et déverse son sperme au fond du vagin comprimé sur sa verge.

Depuis ce voyage, les deux amants se retrouvent très souvent en dehors de l’entreprise. Ils aiment faire l’amour ensemble, la connexion étant parfaite, voulant les mêmes choses, éprouvant les mêmes jouissances. Adeline est très réceptive et très ouverte aux moindres sollicitations de Jacques. De plus, l’esprit de la belle est à la hauteur de son physique. Aussi Jacques finit-il par lui parler mariage.

— Tu déconnes, là ?
— Non, pas du tout ; je n’ai jamais été aussi sérieux.
— Je ne m’attendais pas à une telle proposition. Moi, j’aime bien faire l’amour avec toi. D’autant plus que j’y prends beaucoup de plaisir, bien plus qu’avec bien des mecs… enfin, les deux ou trois que j’ai connus.
— Eh bien, si tu es attachée à moi, le mariage serait une bonne chose, non ?
— Tu sais, moi, le mariage, ce n’est pas une institution qui me botte. La femme mariée, elle ne devient pas un peu la pute du mari ? Oh, la pute d’un seul homme, mais la pute tout de même. Il faut être la femme irréprochable, la bonniche, la mère qui torche les mioches et la pute au ...

... lit.
— Tu exagères, là. Tu crois vraiment que je vais me comporter comme ton mac après t’avoir passé la bague au doigt ?
— Je me suis toujours dit que les couples s’entendent mieux avant de se marier. Tout se gâte après le voyage de noce.
— Pourtant, sans mariage, notre histoire n’ira pas bien loin. S’il n’y avait que moi, cette situation m’irait très bien, mais ma mère veut que j’épouse une femme. Heureusement, elle me laisse choisir, et je crois que tu es la bonne personne.
— Je vois. Tu veux bien me laisser quelques jours de réflexion ?
— Bien sûr, je ne te mets pas le couteau sous la gorge. D’autant que tu ne vas pas pouvoir parler la bouche pleine, finit-il en lui présentant son sexe pour qu’elle le suce.
— Elle est encore toute gluante de cyprine et de sperme… dit-elle en saisissant la bite ; mais c’est encore là qu’elle est meilleure. Sais-tu que la première fois que je t’ai prodigué une fellation et que j’ai reçu ton sperme au fond de ma gorge, je n’avais jamais accepté d’avaler la semence des hommes avec qui j’ai baisé et… que j’ai sucés ? Je me tais, je me tais, je vais faire du bien à ton sceptre d’amour.

Elle gobe le sexe qui commence déjà à frémir et entame une fellation avec plaisir, application et délectation. Lorsque le sexe a repris toute sa consistance, Jacques vient lécher la conque de celle qu’il veut pour épouse avant de la prendre avec fougue et empressement.

Après avoir joui sous les assauts du jeune homme, Adeline pose sa tête sur son ventre. ...