1. Jacques, loin des hippies


    Datte: 09/07/2021, Catégories: fh, hplusag, jeunes, couple, extracon, alliance, enceinte, plage, douche, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fsodo, confession, initfh, oncle, Auteur: Drulin, Source: Revebebe

    ... qu’elle est épiée. Échauffé par cette vision, Jacques se masturbe dans son lit en se repassant les images qu’il a vues et d’autres qu’il imagine. Le plaisir est si grand et la faute si minime qu’il n’arrive pas à avoir de remords.« Mathilde n’en saura rien, Myriam ne s’est aperçu de rien. Voilà tout, le chapitre est clos. »
    
    La semaine suivante, Jacques va à la salle de bain pour prendre une douche. Lorsqu’il ouvre la porte, il voit Myriam dans la baignoire. Les pointes de ses seins sont hors de l’eau, et comme il y a très peu de mousse, le reste du corps est parfaitement visible en transparence.
    
    — Oh ! s’exclame Jacques, excuse-moi.
    — Ce n’est rien.
    — Tu pourrais fermer la porte tout de même…
    — Je n’y ai pas pensé. Et puis tu as déjà vu une femme à poil, non ?
    — Naturellement… Attends, tu es la fille de Mathilde.
    — Allez, reste donc, ça ne me gêne pas tu sais.
    — Mais tu es ma nièce.
    — Bah, justement, je ne vais pas me présenter à poil devant n’importe qui. Mais devant toi, tonton, je ne vois pas où est le mal.
    
    Jacques s’approche de la baignoire et, contre sa volonté, il commence à bander. Comme il ne porte qu’un pantalon de pyjama de toile fine, son érection est tout de suite visible. Myriam, avec une effronterie inattendue, saisit la taille de son oncle et d’un mouvement preste baisse la culotte. Jacques reste pétrifié. Alors elle profite de cet instant de flottement pour détailler sans vergogne la verge qui présente une belle érection. Elle lui dit d’un air ...
    ... goguenard :
    
    — Je vois que maman ne s’emmerde pas avec un calibre comme le tien, tonton ! J’espère pour elle que tu sais bien t’en servir. Ton frère, mon papa, il en avait une aussi grosse que toi ? Allez, viens prendre ton bain avec moi, ne soit pas si timoré.
    
    Jacques va rejoindre dans le bain cette fille qui n’est pas vraiment sa nièce. Il la prend dans ses bras et l’embrasse, il fait courir ses mains sur sa peau nue d’une douceur incomparable. Elle ne le repousse pas ; au contraire, elle l’enlace. Il s’empare de ses adorables seins. Ils sont lourds dans ses mains, la peau en est douce, la chair souple, le galbe parfait. Il sait qu’à cet instant il s’engage sur une voie dangereuse et sans retour. S’ensuit un jeu subaquatique où ils se masturbent le bas-ventre avec leurs pieds. Jacques parvient à faire pénétrer un orteil dans la moule de la jeune fille qui laisse échapper un feulement.
    
    Ils sortent de l’eau, s’épongent l’un l’autre. Jacques entraîne Myriam vers sa chambre. Elle s’accroche à son cou, se jette contre lui et enserre sa taille de ses jambes. Elle ne touche plus le sol, alors il la mène, légère comme une plume, jusque sur sa couche. Il l’étend sur ce lit de jeune fille. Il fait l’amour à sa nièce, avec impatience, et pourtant avec beaucoup de douceur et de sensualité. Elle se pâme d’aise à la façon qu’il a de lui cajoler les seins, elle jouit lorsque sa main rencontre sa vulve dont les petites lèvres sont déjà sorties de leur cachette. Ils sont comme deux ...
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