Jacques, loin des hippies
Datte: 09/07/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
couple,
extracon,
alliance,
enceinte,
plage,
douche,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fsodo,
confession,
initfh,
oncle,
Auteur: Drulin, Source: Revebebe
... chose que tu as expérimentée lorsque tu vivais dans la communauté hippie ?
— Oui, nous allions souvent nus. Nous vivions cette nudité en commun en s’affranchissant de la pudeur.
— Et tu aimais ?
— Cela procure un bien-être indéniable grâce au contact direct de la peau avec les éléments naturels. La nudité permet d’être en accord avec soi-même pour être mieux avec les autres personnes.
— Je me demande si, dans la nudité, n’y a-t-il pas nécessairement de la sexualité ? Mais d’un autre côté, je crois que le port d’un bikini minuscule mettant en valeur les courbes d’une femme est beaucoup plus suggestif que la vue d’un corps nu, naturel, sans artifices.
— Tu accepterais donc ?
— Plutôt deux fois qu’une. J’ai bien conscience que d’autres hommes que toi te verront nue, mais les autres femmes le seront aussi.
Ainsi le premier été de leur vie commune se rendent-ils sur le bord de l’Atlantique, dans l’un des plus anciens centres naturistes de France, Montalivet. Lors de leur arrivée, Adeline ressent une boule au ventre en voyant ces hommes et ces femmes flânant totalement nus dans les allées du lieu. Elle se demande si elle n’a pas commis une grosse erreur. Et puis, le lendemain de leur arrivée, courageusement, elle va seule au bloc sanitaire avec sa trousse de toilette serrée contre sa poitrine et une serviette éponge nouée à la taille. Elle ne croise personne, mais une surprise l’attend lorsqu’elle arrive. Certaines personnes se douchent à l’extérieur du bloc, à la vue ...
... de tous, et à l’intérieur les douches sont mixtes, sans box individuels, et hommes et femmes font leurs ablutions dans une grande salle les uns devant les autres sans gêne ni pudeur. C’est le déclic pour Adeline.
Et lorsqu’elle revient à la tente qu’elle occupe avec Jacques, sa serviette éponge est nouée au-dessus de sa tête pour sécher ses cheveux, ses affaires de toilette sous ses aisselles, laissant son corps libre et exposé sans éprouver aucun malaise ni gêne.
— Ça va ? lui demande Jacques, étonné d’un tel détachement.
— Très bien, mon chéri, je m’adapte. On doit aller nu ici, alors je me mets nue.
— Je t’aime, ma chérie. Je suis abasourdi devant ta capacité d’adaptation. Oh, tu vas arriver à me faire bander !
— Eh bien, je m’attendais à plus de contrôle d’un homme habitué à vivre constamment nu. Si tu ne te contrôles pas mieux que ça, ça va faire désordre…
— Je sais, mais dans la communauté, rien ne nous empêchait de bander lorsque nous le voulions. Je sais bien qu’ici il faut montrer plus de réserve.
— Oh oui, ça grimpe dangereusement. Je peux faire quelque chose pour toi ?
— Euh, oui, je veux bien… Enfin, si tu veux bien, sous la tente…
— La mission est de te faire décharger d’un trop-plein de semence. Avec plaisir, mon amour : ça agrémentera mon café. Viens, mon chéri, que je te prodigue une fellation matutinale.
Cela devint un plaisir personnel d’être nue et libre pour lui. Jacques est très fier de son épouse. Et, lorsqu’il la voit sur la plage se ...