1. Evolutions (17)


    Datte: 09/07/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Fantasmatique, Source: Xstory

    EVOLUTION
    
    Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.
    
    Chapitre 17 : Pipi sur le tapis.
    
    Lorsque je rentre du travail, en fin d’après-midi de ce vendredi du début du mois de juin, je constate que quelqu’un s’est permis de garer sa voiture, qui est une Alpha-Roméo rouge de taille moyenne, devant ma villa sur les emplacements qui me sont réservés. Cependant, et étant donné que cela ne me dérange pas, je ne m’intéresse pas à ce détail pourtant insolite, dans mon quartier qui est très tranquille.
    
    Mais une fois que je suis dans le vestibule, je sens comme une odeur légère et boisée, qui elle aussi, est ici inhabituelle. Il me faut quelques instants pour me rappeler que c’est celle du parfum discret d’Alice. Je n’ai pas trop eu l’occasion de l’apprécier le week-end dernier, étant donné qu’elle s’est rendue chez moi, juste avec ce qu’elle portait sur elle, mais j’ai eu celle de m’en repaître tous les midis de la semaine, lorsque nous nous sommes dit bonjour et au revoir en nous embrassant. Je comprends alors que mon petit bout de femme est venu ici en mon absence, et même si, c’est dans ce but que je lui ai donné les clefs de ma maison, je me prends à regretter de ne pas avoir été là.
    
    Arrivé dans le séjour, je trouve d’autres indices, par exemple, la porte-fenêtre du milieu qu’elle a laissée ouverte. Mais quand je vois une robe ...
    ... rouge posée sur le dossier d’une chaise, son sac à main sur la table, mais aussi un petit sac de voyage posé par terre, qui ne peut que contenir des affaires lui appartenant, je réalise qu’elle est encore là. La joie envahit mon cœur, comme si j’étais un adolescent sur le point de retrouver sa petite amie après une longue absence. C’est alors que je l’aperçois, affalée sur la chaise longue dont elle a légèrement relevé le dossier, qui est celle qu’elle a utilisée le week-end dernier et qui n’a pas bougé de la semaine, puisqu’elle se trouve toujours au bord de la piscine.
    
    Bien entendu, elle m’a entendu arriver, d’abord, je pense grâce au bruit caractéristique de mon Alpina, dont je me suis servi tous les jours depuis lundi pour aller travailler, mais aussi, peut-être à celui de la porte d’entrée. C’est pourquoi sa tête est tournée dans ma direction et qu’elle me sourit, son regard à l’abri de ses lunettes aux verres fumés.
    
    Bien que j’attende avec impatience ce moment depuis cinq jours, avant d’aller la rejoindre je prends le temps d’enlever mon costume, et ce n’est qu’une fois que je suis nu que je sors sur la terrasse. Mon sexe s’est déjà dressé, à l’idée que mon amante a anticipé notre rendez-vous dans le but que nous puissions faire l’amour, et lorsque je décalotte mon gland en m’approchant d’elle, son sourire s’élargit.
    
    Les mains d’Alice sont posées sous sa nuque, et elle a largement écarté ses jambes, sans doute pour pouvoir profiter plus pleinement du soleil. Sa ...
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