1. Mes rêves se réalisent (1)


    Datte: 23/01/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: airdepanache, Source: Xstory

    ... existait un moyen pour qu’on couche ensemble tout de suite sans en subir les conséquences, je n’hésiterais pas.
    
    Je me sens salope, à la merci d’une envie physique face à laquelle je suis impuissante. Je veux baiser, je veux coucher. Personne, personne, personne, ne m’a jamais mis dans un état pareil…
    
    La soirée est délicieusement, douloureusement longue. Quand nous rentrons à la maison, Laurent saute dans la douche. Je me retrouve à nouveau seule dans le salon avec Nicolas. C’est là que tout va se passer. Ou rien du tout. Les deux perspectives me tentent et me consternent à la fois.
    
    Mon frère se repose sur le divan regardant un film. Je suis énervée comme une adolescente, tiraillée par des pensées contradictoires. Un goût de chewing-gum à la menthe s’étrangle au fond de ma gorge.
    
    Mon cœur tambourine et me dit de sauter le pas. Je m’approche de lui, il me regarde.
    
    « Quoi ? »
    
    Je l’embrasse et je glisse ma langue dans sa bouche.
    
    J’en ai eu envie toute la soirée. Lui aussi. On ne peut plus se retenir. Mon frère. Mon homme. Aucun d’entre nous n’avait eu ce genre de désir avant aujourd’hui, et pourtant c’est l’évidence.
    
    Je lui ouvre la bouche avec ma langue, mes mains brûlantes qui vont chercher son corps musclé sous l’étoffe. Un baiser long et passionné : ma bouche offerte et la sienne conquérante, nos langues qui ...
    ... tournent, se blottissent l’une contre l’autre, s’enlacent comme deux serpents. Mon corps serré contre le sien, ses doigts dans mes cheveux, son souffle chaud tout au coin du mien. Doux inceste. Nos langues qui caressent nos lèvres, nos lèvres qui s’échauffent, aspirent la salive, le souffle, ma petite robe toute légère qui vient se froisser et se défaire contre sa chemise.
    
    « Mélissa… je ne te reconnais pas… », finit-il par dire entre deux baisers. C’est à son tour de rougir.
    
    « Shh », lui dis-je d’un soupir. « Prend ma bouche, je n’en peux plus. »
    
    Il me sourit et m’embrasse à nouveau. On se roule des pelles. Longtemps. Furieusement. A en perdre la tête. Ça ressemble de plus en plus à des préliminaires. Mes tétons sont dressés et fermes. En l’embrassant, je vais instinctivement chercher la queue de mon frère à travers le pantalon. Je le sens bien dur sous le jeans. Je lui fais de l’effet. J’ai très envie de lui. Mais revoilà mon putain de sens commun :
    
    « Je pense que Laurent a terminé », dis-je à mon frère en chuchotant, tout près de son visage aimé.
    
    Je me relève, je remet plus ou moins ma petite robe en état, je réajuste une bretelle de soutien gorge et je mets un peu d’ordre dans mes cheveux.
    
    Nicolas ne me quitte pas des yeux. Si seulement nous étions seuls tous les deux ! Je serais à lui en ce moment. Il serait en moi. 
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