I - Liaisons dangereuses (44) - Histoires de Sexe

I - Liaisons dangereuses (44)

... moi pour s’appuyer sur le large volant. Je passe mon gland entre ses nymphes avant de le faire disparaître en elle.

La cabine est emplie de ses couinements délicieux et du claquement de ma peau contre la sienne ; Jenny est agrippée au volant, aux premières loges pour admirer Shama qui, à quelques mètres de là, se fait baiser en se tenant comme elle peut à l’avant du tracteur. Denise a migré sous l’arbre et ce n’est pas elle qui se fait ramoner mais Max qui se fait enculer en levrette tout en dégustant la chatte mature de l’esthéticienne. Jenny libère alors ma queue.

— Je veux que tu me prennes le cul.

Elle écarte bien ses fesses pour m’offrir son anus, je me baisse un peu pour pouvoir le lécher et ainsi le lubrifier avant de caler mon gland dessus. Dès qu’elle sent ce contact, elle s’assoit sur moi, faisant entièrement disparaître ma queue dans son fondement.

— Oh putain oui, hmmmmmm, vas-y, encule-moi bien !

Je mets à la prendre sur un bon rythme, dégustant chaque aller et retour de ma queue délicieusement enserrée par son anus qui est bien plus étroit que celui de Shama, ce qui ne manque pas de démultiplier les sensations que je ressens à tel point qu’à plusieurs reprises, je dois me retirer afin de m’éviter de jouir. Ma queue est tendue au maximum, parfaitement droite, et à chaque fois que je la remets dans son cul, je sens ma jouissance arriver au galop.

— T’as envie de cracher ? Me demande Jenny en me regardant m’efforcer de garder mon calme.

— ...

... Ouais, je suis pas loin je crois.

Pile au même moment, on vient taper à la portière du tracteur.

— Eh, ramène-toi mec, Shama veut une pluie de foutre ! me lance David.

— Ah, désolé Jenny, ça sera pas pour toi pour cette fois.

— Pas grave, c’est que partie remise, me dit-elle avant de me lancer un clin d’œil.

Nous descendons du tracteur pour trouver Shama, entourée de tous les mecs ; Jenny vient se placer derrière moi pour empoigner ma queue et me branler vigoureusement tout en me massant les couilles, Denise branle deux queues et Max la sienne plus celle de son voisin de gauche, quant à David, c’est bien sûr Shama qui s’en occupe.

Des râles profonds se font entendre, des soupirs de plus en plus saccadés, et, une par une, les bites se mettent à tressaillir, de lourdes et épaisses giclées de foutre venant de tous côtés aspergeant Shama qui les accueille la bouche grande ouverte. Le sperme qui gicle lui macule le visage, les cheveux ainsi que les seins ; puis c’est à mon tour de cracher ma purée, bien aidé par les gestes rapides de Jenny qui oriente ma queue vers le visage de Shama. Le fait de m’être auparavant autant retenu de jouir fait que mes jets sont puissants et nombreux et la réceptrice de mon offrande séminale ne se fait pas prier pour venir gober ma queue pour en déguster le plus possible ; elle fait de même avec toutes les autres et malgré le fait que l’on soit dehors, une odeur de sperme bien marquée nous entoure.

Une fois ma queue bien essorée, Jenny ...