Police polissonne (20)
Datte: 07/07/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
... que c’est bon. Les mecs, vous ne savez pas ce que vous perdez ! » pense-t-il.
— Relève-toi, tu as été parfait ; je pense que nous allons t’éduquer, n’est-ce pas Myriam ?
— Oui, tu as raison, nous allons bien nous amuser avec lui ; n’est-ce pas, esclave ?
— Oui, Maîtresse, répond Olivier.
Il se surprend, d’avoir dit le mot « Maîtresse » qui est sorti de sa bouche sans qu’il s’en rende vraiment compte, accompagné d’un surplus d’excitation. Il a envie de demander qu’elle lui fasse des choses, sans savoir ce qu’il lui ferait réellement plaisir ; alors il abandonne en se disant qu’attendre le bon vouloir des deux filles sera encore plus excitant.
— Tu vois il aime déjà ça, dit Myriam en le poussant contre la paroi de ce carrelage blanc.
Et maintenant elles ont pris, l’une ses olives en bouche, et l’autre son gland qu’elles sucent avec gourmandise. Elles lui caressent tout le corps sans oublier de lui faire quelques petites tortures. Sonia s’attarde sur ses tétons, elle qui adore ça, elle en fait profiter à son nouveau jouet qui semble apprécier les effets en laissant échapper quelques doux ...
... gémissements. Pour Olivier, tout un tas de fantasmes défilent dans sa tête. Mais pour les deux filles, c’est le coup de grâce et après cette journée éprouvante la fatigue se fait cruellement sentir, alors rien ne sert de résister ; elles se lavent.
— Je suis complètement exténuée, cette journée a été éprouvante. Je crois que je vais bien dormir cette nuit.
— Moi aussi, répond Myriam qui avait choisi le lit restant à côté de celui de Sonia.
Un peu déçu mais compréhensif, Olivier se lave aussi ; ils se sèchent et montent dans la chambre. Elles rapprochent leurs lits et se couchent avec juste un drap sur elles et s’endorment en se tenant la main. Un moment plus tard, Olivier et les autres garçons de la section ont le plaisir de voir deux jolis derrières à peine éclairés par un rayon de lune curieux. Les deux filles dorment à poings fermés et ne sentent pas les doux baisers que les quatre garçons déposent sur leurs fesses.
— Olivier, je suppose que tu t’es tapé les deux, regarde comme tu les as épuisées ; et nous alors ?
— Fallait rester les gars, moi j’ai eu tout ce que je voulais, fanfaronne Olivier.
[À suivre]