1. Patrick


    Datte: 06/07/2021, Catégories: couple, cadeau, fépilée, sexshop, amour, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, BDSM / Fétichisme jouet, sm, donjon, attache, baillon, yeuxbandés, glaçon, bougie, piquepince, Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe

    ... en retour, mais juste un bref instant. S’étant rendu compte de la réaction horrifiée de Patrick, William lui fit signe d’approcher. Il lui prit le bras et fit tomber une goutte de cire chaude dessus. Patrick ressentit une vive brûlure au point d’impact mais seulement pendant un bref instant. La seconde suivante, la douleur s’était étendue à quelques millimètres autour et la troisième seconde, la douleur avait disparu. William retira alors la gouttelette de cire compacte du bout du doigt et annonça :
    
    — Aucune trace. Ça fait mal, oui, mais c’est très court et ça ne laisse aucune marque.
    
    Patrick hocha la tête tandis que William faisait tomber de nouvelles gouttelettes de cire sur le sexe d’Anne. Patrick reprit sa place sur les seins, changeant régulièrement de glaçons, car ceux-ci fondaient très vite sur la peau brûlante de sa femme. Patrick observait les réactions de son épouse. La douleur due à la cire chaude ne semblait pas si intense. Elle parvint même à s’empêcher de crier après la première surprise passée. Après un moment, William lança :
    
    — N’hésitez pas à remplacer les glaçons par une bougie, si le cœur vous en dit, Patrick.
    
    Patrick hésita un instant, puis, finalement, se décida à changer de température. Sur les seins glacés par le cube froid, il laissa maladroitement tomber une goutte de cire brûlante. Anne, qui s’y attendait, parvint à ne pas crier. Elle sursauta simplement et sa respiration s’accéléra. Le jeu dura un moment et lorsque William commença à ...
    ... sentir que la douleur devenait trop difficile à supporter pour Anne, il y mit fin et éteignit les bougies pendant que Patrick embrassait langoureusement sa femme qui lui rendit ce baiser avec passion. Lorsque William se retourna vers ses deux invités, il sourit en les voyant lèvres contre lèvres. Ils finirent par se séparer et William annonça :
    
    — Bon, maintenant, il faut retirer la cire. Anne ? Comment la retire-t-on ?
    — Au martinet, monsieur, répondit Anne.
    
    Si William avait encore des doutes sur le passé BDSM d’Anne, ils venaient de s’envoler. William tendit alors l’un de ses objets à Patrick, en saisit un lui-même et commença à frapper, avec douceur d’abord, le sexe d’Anne, faisant voler des particules de cire dure. Patrick l’imita sur le haut du corps de sa femme. Lui aussi avec douceur puis il suivit Patrick dans la montée en puissance. Si Patrick était surpris, c’était par les gémissements de sa femme. Était-ce de la douleur ou du plaisir ? Il avait beaucoup de mal à le dire. Probablement un peu des deux. Il prit alors vraiment conscience de la satisfaction que sa femme avait dans de telles circonstances. Patrick finit par vraiment se prendre en jeu, alternant les coups doux et plus brutaux, appréciant de voir sa femme réagir à chaque coup. Il adora par-dessus tout ses sourires complets à chaque répit qui lui était donné. Enfin, William décida de ranger les martinets, retira à la main les dernières traces de cire froide sur le corps d’Anne et souffla :
    
    — Alors, ...