1. Patrick


    Datte: 06/07/2021, Catégories: couple, cadeau, fépilée, sexshop, amour, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, BDSM / Fétichisme jouet, sm, donjon, attache, baillon, yeuxbandés, glaçon, bougie, piquepince, Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe

    ... l’intérieur protégeait ce qui devait se trouver derrière. Une table se trouvait devant. Une femme y était installée, et devant elle se trouvait un micro, un casque, ainsi qu’un appareil technologique avec des boutons que Patrick ne fut pas en mesure d’identifier. D’autres chaises étaient disposées de part et d’autre. À gauche, sur une autre table étaient posés une machine à café, des tasses et tout le nécessaire pour faire du thé, du café ou du chocolat. William s’en servit un et proposa à Patrick de faire de même. Il se servit volontiers un autre café, se demandant ce qu’il fichait dans cette pièce presque vide sans le moindre intérêt. William s’assit et discuta avec la femme, qui s’appelait Amina. Ils discutaient avec plaisir. Apparemment, ils se connaissaient depuis longtemps et semblaient proches. Patrick, poliment, n’intervint pas et attendit en silence que quelque chose daigne se passer. Enfin, Stan entra dans la pièce et, après avoir fermé la porte, lança :
    
    — Elle est prête mais également très nerveuse.
    — Tu m’étonnes ! répliqua Amina et tous sourirent.
    
    Patrick vit la jeune femme appuyer sur un bouton et le volet sombre se releva, dévoilant une vitre qui n’ouvrait pas sur l’extérieur mais sur une autre pièce. Dans celle-ci se trouvait Anne, nue, attachée sur un siège en métal. Ses mains étaient attachées derrière son dos, faisant ressortir sa poitrine. Ses jambes étaient liées par des lacets en cuir à ses cuisses, ses mollets et ses chevilles dans une position ...
    ... très gynécologique. Elle leur faisait face et les quatre occupants de la pièce avaient donc une vue directe sur son sexe lisse et mouillé. Pour compléter le tableau, ses tétons dressés et ses petites lèvres avaient été parés de pinces. De celles-ci partaient des fils qui s’enfichaient dans une boîte accrochée au siège. William et ses confrères ne dirent rien, laissant Patrick prendre le temps d’observer la scène. Une chose, soudain, surprit Patrick.
    
    — Elle ne semble pas nous regarder. Elle semble même nous éviter du regard.
    
    Les trois compagnons sourirent et William expliqua :
    
    — Cette vitre, de son côté, est un miroir. Elle ne nous voit pas. Si elle tourne vers nous, c’est elle-même qu’elle voit.
    
    Une vitre sans tain. C’était diabolique, pensa Patrick.
    
    — À quoi servent les fils reliés aux pinces ? interrogea Patrick.
    — Vous allez comprendre, dit William en accrochant un micro à sa veste.
    
    Pour activer le micro, il lui suffisait d’appuyer sur un bouton sur le fil. Lorsqu’il lâchait, ses mots ne seraient plus entendus par Anne, dans l’autre pièce. Patrick admira la simplicité du mécanisme.
    
    — Dis-nous ce que tu ressens, Anne, demanda alors William.
    
    La voix, dans le micro, était légèrement déformée. Celle d’Anne, en retour, le fut également.
    
    — Je suis nerveuse et pas très bien installée. Et puis, j’ai mal. Les pinces sont douloureuses.
    — Nous sommes derrière la vitre, devant toi, qui est sans tain. Avec moi, il y a Patrick, bien sûr.
    
    William lui fit ...
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