1. Ou comment le jardinier est devenu le défricheur. 4


    Datte: 05/07/2021, Catégories: Première fois Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    ... visage de sœur Madeleine s’était transfiguré. Les grimaces de douleur s’étaient transformées en rictus de bonheur.
    
    Henriette s’était rendu compte du changement et l’interrogea:
    
    -C’est bon maintenant, tu ne regrettes rien?
    
    Madeleine pris son temps avant de lui répondre dans un souffle :
    
    -Oh non….Oh Mon dieu comme c’est booonnn !
    
    Henriette m’encourageait de la voix.
    
    - Vas-y, baise-la bien ! Défonce-la à fond! Elle ne connaîtra peut-être plus aucun autre homme après toi !
    
    Et s’adressant à sa complice, se délectant à observer ainsi l’étonnante colonne de chair coulisser lentement, s’enfonçant et ressortant d’entre les lèvres enflées de la chatte si étroite:
    
    -Pour ta première queue, j’espère que tu te régales ! Il a un tel calibre qu’il en reste un sacré bout en dehors !
    
    Les cris de plus en plus forts de sœur Madeleine rythmaient mes coups de reins. Elle s’était cambrée davantage, pour accueillir plus aisément l’énorme biroute ! Son corps était parcouru de multiples orgasmes. Le dernier fut si violent qu’il l’avait secouée toute entière et qu’elle se serrait écroulée si je ne la maintenais pas aussi fermement.
    
    La main de sœur Henriette s’activait dans sa chatte pour en récolter son jus et en enduisait copieusement le petit trou de sa rivale avant de lui enfoncer deux doigts dans le cul et c’est à peine si sœur Madeleine s’en était aperçu
    
    Elle me glissa alors à l’oreille :
    
    -Il n’y a plus que du cul qu’elle soit encore vierge et là tu ...
    ... pourras de défouler à loisir et te vider les couilles !
    
    Puis elle attrapa ma queue en me regardant bien droit dans les yeux et me prît en bouche après avoir craché dessus, ses mains montaient et descendaient avec virtuosité le long de ma hampe.
    
    Elle s’activait de plus en plus rapidement sur ma colonne tendue et de temps en temps ses lèvres s’égaraient sur mes couilles gonflées. Je l’ai supplié :
    
    -Ahhhh ! Si tu continue je vais tout lâcher au fond de ta gorge !
    
    Elle m’a abandonné et sa bouche a prît la place de ma pine sur la chatte de sœur Madeleine en s’égarant régulièrement sur son petit trou. Elle l’a léchée encore pendant quelques minutes puis m’a regardé :
    
    -Tu es prêt à le faire ? Mais vas-y doucement », jeta-elle. C’est une vraie « novice » aux 2 sens du terme !
    
    Je lui répondis dans un souffle que j’étais prêt à ramoner son petit postérieur. »
    
    Elle sourit et enduit copieusement de sa bave mon poireau et explique à son amie.
    
    -Madeleine, tu vas découvrir qu’il existe plusieurs façons de trouver le plaisir.
    
    Henriette se saisit de ma verge tendue au maximum et la frotta plusieurs fois contre la rosace ridée
    
    puis la maintien contre l'anus. Je reprends Madeleine par les hanches et pousse lentement ...
    
    -Ooouuuaaahhh !! Que fais-tu ? Tu es trop gros arrête !!!
    
    Je poussai encore plus fort.
    
    -Aaaaaaaaahhh !!! Mon dieu que ça fait maaaaaal noooooooon !!!
    
    Sous la puissance de ma poussée, le sphincter céda et lentement laissa pénétrer le gland ...