1. COLLECTION BLACK. La queue noire. (1/3)


    Datte: 18/05/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... ma culotte avec deux mecs blancs, un blanc et un blanc.
    
    Ils m’ont baisé chacun leur tour, après que l’un léchait mon bas-ventre pendant que je faisais une fellation à l’autre, je gueulais tellement de plaisir qu’ils m’ont mis ma culotte en dentelle dans la bouche afin que je n’ameute pas tout le quartier.
    
    J’avais un peu mal à la chatte, mais surtout une migraine, deux fois plus intense que celle qui me prend depuis que j’ai mes règles et les filets de sang que j’ai remarqués en me réveillant.
    
    La migraine n’avait certainement rien à voir avec la perte de mon pucelage sans que je ne m’en souvienne le moins du monde.
    
    Quelques mois plus tard, à la boutique où je travaille sur l’avenue des Champs-Élysées, un homme est venu acheter une bouteille de parfum m’ayant dit que c’était pour sa fiancée.
    
    Je lui ai demandé comment, elle était physiquement, blonde, brune, rousse.
    
    • Comme vous, Mademoiselle !
    
    Cinq minutes après, je lui avais conseillé de prendre le parfum que je préférais, il est sorti en payant après que je lui ai fait ce paquet cadeau, quand j’ai fini mon travail, je suis sortie quand j’ai été abordé par cet homme, c’était Robert, il se promenait sur l’avenue quand il m’a vue à travers la vitre.
    
    Je n’aurais jamais pensé mettre un jour le parfum si cher que je conseillais, le préférant à toutes ces femmes bourrées de fric.
    
    Quelques semaines plus tard, il me présentait une autre boîte à la sortie de mon travail à genoux sur le trottoir en plein ...
    ... Paris, il faut dire qu’il y avait quelques semaines que je le rejoignais dans sa chambre près de la fac où il passait ses diplômes pour remplacer son père.
    
    Dans notre histoire, un seul point noir, ma belle-mère, habitant dans le quartier du show bise dans Paris, elle avait rêvé que son fils rencontrerait une star et qu’il l’épouserait.
    
    Vous pensez, la fille d’un couple de Gentilly, le père mécanicien dans un garage et la mère femme au foyer, qui plus est chromeuse, car le jour où il m’a offert ma bague, j’avais dans mon sac ma lettre de licenciement, pour compression de personnel.
    
    Mais revenons à mon grand noir, à la station précédant celle où je descendais, j’ai vu qu’il sautait sur le quai, je suis descendue Place Pigalle.
    
    Avant d’entrer chez moi, je suis entrée dans un café, toutes les tables étaient occupées, il y avait une place au bar et j’ai commandé un Perrier.
    
    • Avez-vous du feu, s’il vous plaît ?
    
    J’ai tourné la tête et j’ai cru que mon grand noir du métro m’avait suivi, la première chose qui m’ont fait penser à lui, ce sont ses grosses lèvres que j’avais vues dans la fenêtre du wagon.
    
    À ce moment, je les avais à quelques centimètres de mon visage, elles étaient épaisses.
    
    • Non, je ne fume pas !
    
    • Cela tombe bien, moi aussi.
    
    Je me suis sentie obligée de rire.
    
    • C’est tout ce que vous avez trouvé comme technique de drague, vous avez déjà réussi à faire tomber dans mes filets quelques bourgeoises du quartier.
    
    • C’est dur, mais quelquefois ...