La consultation - Histoires de Sexe

La consultation

... procure la sodomie.

Julie frissonne de plus belle. Elle a du mal à accepter qu’ils puissent parler aussi librement de ce sombre et honteux orifice qu’elle a jusqu’ici réussi à préserver de la convoitise des hommes. Elle n’est plus de tout sûre de vouloir poursuivre la séance. Elle voudrait le leur dire, mais aucun son ne sort de sa gorge. Elle sent un filet d’huile glisser le long de la raie de ses fesses pour s’accumuler dans la minuscule cuvette de son petit trou, et cette sensation déclenche un nouvelle vague de plaisir au creux de sa petite chatte.

— Monsieur Bertier ? Que diriez-vous de glisser votre index dans le petit trou de Madame votre épouse ?

Pierre ne se fait pas prier et pose son doigt sur la rondelle fripée qui se contracte nerveusement dans l’espoir d’arrêter l’envahisseur. Mais la réaction instinctive de Julie est vaine, et le doigt de Pierre a tôt fait de pénétrer dans la forteresse, se glissant d’une, puis de deux phalanges dans l’étroit boyau de son cul.

— Très bien, c’est cela, faites-le coulisser. Vous sentez comme c’est doux ? Vous pouvez introduire le majeur à présent. Je suis sûr que Madame Bertier n’y verra aucun inconvénient. Alors, Madame, qu’en dites-vous ? Ce n’est pas si désagréable que cela, n’est-ce pas ?

La tête enfoncée entre ses bras repliés, Julie se contente pour toute réponse d’un « Non… » murmuré d’une voix entrecoupée d’un long gémissement de plaisir. Non, ce n’est pas désagréable, loin de là même, à en juger par les ...

... contractions nerveuses qui agitent les parois de son con tandis que les doigts de Pierre vont et viennent dans le conduit soyeux de ses entrailles.

— Il me semble que vous êtes prête à accueillir autre chose que les doigts de votre mari. Qu’en dites-vous ?
— Oui… je… je suis prête…
— Très bien ; alors, pourquoi ne le demandez-vous pas vous-même ?
— C’est à dire que…
— Allons, Madame Bertier, vous ne pouvez pas rester éternellement passive, attendant le bon vouloir de monsieur votre époux. Il faut que ce dernier sente que vous en avez envie autant que lui.
— Pierre… je… je voudrais… je voudrais que tu… que tu me… sodomises.
— C’est mieux. Mais la sodomie est un terme qu’il vaut mieux laisser aux thérapeutes dans mon genre. Non, ce dont vous avez envie, c’est que votre mari vous « encule » ; n’est-ce pas, Madame Bertier ?
— Oui… oui… je t’en prie Pierre… encule-moi, encule-moi, vite ! J’ai envie de sentir ta grosse queue s’enfoncer dans le petit trou de mon cul et se glisser entre mes reins tandis que je jouirai comme une chienne en chaleur.

Tandis que la table d’examen descend lentement pour conduire le divin orifice du cul juste à la bonne hauteur, Pierre a du mal à ne pas éclater de rire en entendant sa douce et tendre s’exprimer comme une magnifique salope, impatiente de se faire défoncer la rondelle. Il se dit qu’il a eu mille fois raison d’accepter la proposition de son ami, et que même s’il n’en a pas les qualifications, ce dernier est bien le meilleur des ...