1. Choc culturel...et gynécologique ! (3)


    Datte: 04/07/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... tu es ma pute personnelle, je suis ton Maître, et je vais te faire souffrir, tu peux me croire salope !
    
    — Oui, Maître.
    
    — Tu riras moins dans 10 minutes, suis moi !
    
    Et Céline ne quittant pas son sac, suivit le docteur dans la pièce d’examen, et le posa sur une desserte. Puis les mains sur la tête, nue, en porte-jarretelles, offerte aux caprices du médecin, comme une parfaite soumise, elle attendit le bon vouloir de son « tortionnaire ».
    
    — Tu veux du cul ? Tu veux jouir, tu veux de la violence, des coups, des humiliations ?
    
    — Oui, Maître, tout cela, vous avez bien résumé !
    
    — Alors c’est parfait ! Place-toi sous l’anneau au plafond !
    
    Le docteur Al Jezouly avait quelque peu réaménagé son salon d’examen en « donjon » improvisé. S’étant documenté, et ayant posé des questions à sa sexologue de femme, trois jours auparavant, il en avait beaucoup appris, celle-ci restant très étonnée de sa curiosité morbide à ce sujet !
    
    — Dis-moi Françoise, as-tu connu des cas de femme sadomasochiste ?
    
    — Oui, cette pratique est plus fréquente que l’on ne croit. Mais pourquoi me poses-tu la question, toi, que toutes les déviances sexuelles révulsent ?
    
    — Curiosité purement académique, j’en ai peut-être une en visite dans mon cabinet... au vu des légères blessures qu’elle a dans des endroits très intimes, si tu vois ce que je veux dire. Heuu... dis-moi, certaines femmes aiment vraiment ce genre de pratique ?
    
    — La femme masochiste adore l’humiliation, le fait d’être ...
    ... soumise à la volonté d’un homme qui peut tout lui demander, dans les limites préalablement définies par un acte écrit, rédigé entre eux deux, appelé « contrat de soumission ».
    
    — Comme un contrat normal ?
    
    — Oui... on peut dire cela. En l’occurrence, les deux parties définissent ce qui est possible, de ce qui ne l’est pas, pour définir des limites, et agir en toute sécurité... et éviter tout incident !
    
    — Des limites... de quel ordre ?
    
    — Oh, cela peut aller très loin. J’ai un jeune patient qui a une liaison sadique avec une femme plus âgée que lui, une bourgeoise très jolie et désirable parait-il... elle est prête à quasiment tout pour lui faire plaisir, et trouver une jouissance maximale.
    
    — Mais encore ? Que font-ils exactement ?
    
    — Tu veux vraiment des détails ? Cela m’étonne de toi ?
    
    — C’est pour identifier le genre de blessures qui ne sont pas dues à de la maltraitance... Il est important pour moi, de voir si ces blessures sont le résultat d’actes désirés par ma patiente, ou bien si c’est de la violence conjugale !
    
    — Je comprends. Et bien dans notre échelle de valeur, c’est de la maltraitance. Sauf qu’elle est demandée, voulue, désirée, souvent avec ferveur par la soumise, et que, plus elle a mal, plus elle jouit ! Il peut même y avoir des actes extrêmes, qui échappent à toute compréhension d’un esprit normalement constitué !
    
    — C’est fascinant et abject à la fois ! Donc ils font quoi par exemple ?
    
    — Tu es sûr que tu ne vomiras pas ?
    
    — Non, non ...