1. Première fois


    Datte: 04/07/2021, Catégories: ff, ffh, fbi, jeunes, copains, grosseins, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral fouetfesse, init, Auteur: Couple de coquins, Source: Revebebe

    Ma première fois ? À la fac…
    
    Cela fait deux ans que je suis avec mon copain, Olivier, une révélation… On s’entend à merveille, même si se produisent parfois quelques clashs, mais quel couple n’a pas connu la dispute/réconciliation sur oreiller ? Et justement, à propos d’oreiller, Olivier est un dieu au lit. Quand son corps de rêve s’offre à moi, je suis aux anges. Ses lèvres charnues, ses épaules, ses pectoraux, ses bras puissants, ses petites fesses musclées, tout chez lui respire l’Homme, avec un grand H. Sa langue, ses mains, ses lèvres et son sexe même connaissent mon corps, le comprennent.
    
    Nos ébats sont exceptionnels, mais pour mon plus grand malheur peu fréquents : nous habitons loin l’un de l’autre à cause de mes études. Ainsi, même si on se voit toutes les deux/trois semaines et même si on vit intensément nos brèves entrevues, la plupart du temps, je suis seule ou plutôt à la fac pour suivre mes cours et travailler. Et c’est comme ça que je passe le plus clair de mon temps avec Pénélope. On se connaît depuis peu, mais on s’entend bien. L’avantage d’être avec elle, c’est qu’elle est jolie et très, très féminine. Elle attire les regards, en particulier vers son décolleté. Mais je ne m’en plains pas, je n’ai pas à m’embarrasser des lourdingues, qui n’ont d’yeux que pour elle, alors qu’elle n’a d’yeux que pour son copain… Ainsi, on passe nos cours agréablement en compagnie l’une de l’autre, et nous discutons. Je lui raconte justement aujourd’hui combien Olivier me ...
    ... manque.
    
    — Deux semaines que je ne l’ai pas vu, tu te rends compte, une éternité ! Il commence furieusement à me manquer, et encore une semaine à attendre ! dis-je
    — Il « commence » ?
    
    Pénélope me jette un regard mi-amusé, mi une expression que je ne lui connais pas. Comprenant soudainement, je ris.
    
    — Oui enfin, tu sais ce que je veux dire.
    
    Et je retourne à mon mutisme… Plus Olivier me manque, plus je suis dans la lune. Mais ce ne sont pas des rêveries romantiques, toujours me reviennent à l’esprit les dernières fois qu’Olivier et moi nous sommes envoyés en l’air, les dernières fois que je lui ai fait une fellation. Elles sont tellement excitantes pour moi. Le souvenir de son sexe dru et dur me pilonnant éveille alors un sourire et je rougis. Mon excitation, je l’espère, n’aura pas été trop visible. Mais déjà la fin du cours approche et je reviens complètement à mes esprits lorsque j’entends retentir :
    
    — Vous me rendrez cet exposé lundi, pas de retard admis, vous pouvez travailler en binôme.
    
    Lundi ? On est vendredi, ce qui signifie que je vais encore devoir passer mon week-end dessus. Pénélope et moi nous jetons un coup d’œil : allez, c’est vrai, en binôme, on en sera toutes les deux plus vite débarrassées.
    
    Le lendemain, Pénélope sonne à la porte de mon petit appartement, un sac de cours et deux bouteilles de bière à la main. Voyant mon air surpris, elle croit bon de m’expliquer :
    
    — Pour fêter le week-end et la fin de ce devoir !
    
    J’éclate de rire et ...
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