1. Repos dominical


    Datte: 04/07/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, chaussures, Oral 69, fsodo, jeu, amourcach, bourge, Auteur: Cedral, Source: Revebebe

    ... vous voir vous rhabiller. Enfin, je me suis mal exprimé, je voulais dire vous rhabiller très partiellement et sous mes directives. S’il-vous-plaît, commencez donc par remettre une paire de bas.
    
    Elle s’exécuta en silence et il aima lui voir effectuer ces gestes relativement impudiques d’une femme mettant ses bas.
    
    — Vous mettrez aussi vos talons-aiguilles. Oui, oui, vous le savez, c’est un de mes fantasmes. Je vous prendrai chaussée tout-à-l’heure.
    
    Il lui demanda ensuite de se promener lentement, sans un mot, dans son propre bureau. Ce qu’elle fit de bonne grâce après une légère hésitation initiale et avec un déhanchement qu’il trouva naturel et attirant.
    
    — Je suis sûr que vous avez au moins une paire de bas ou de collants en réserve dans votre tiroir. Allez les chercher.
    
    Elle avait compris et les choses s’étaient naturellement faites ainsi – c’était bien et c’était leur mode de fonctionnement, sans ordre du jour préétabli et ceci leur plaisait beaucoup à tous les deux – que ce serait aujourd’hui son jour à lui, dans son bureau à elle. Qu’il serait donc directif, comme elle serait docile. Et que les souhaits qu’il émettrait, même doucement exprimés, devaient aujourd’hui être entendus par elle comme des indications impératives. Elle lui apporta donc les bas.
    
    — Vous en portez déjà une paire, Hélène. À quoi ceux-ci vont-ils donc me servir ? Décidez donc par vous-même.
    
    S’étant agenouillée devant le fauteuil où était confortablement assis Jérôme, Hélène avait ...
    ... compris. Sans un mot supplémentaire, elle se noua d’elle-même avec lenteur et application sa paire de bas devant les yeux, écartant pour ce faire ses aisselles dans un autre mouvement impudique qu’il apprécia beaucoup. Il l’aida ensuite à monter sur le fauteuil où il était assis. Il lui installa les genoux sur les accoudoirs –« j’en ai eu envie, Hélène, dès que je suis entré dans ce bureau » – ce qui l’obligeait à conserver les cuisses superbement et durablement écartées. Il l’avait là devant lui, totalement à sa merci, yeux bandés. Seuls ses bras, et ses mains, conservaient un certain degré de liberté. C’en était encore trop.
    
    — S’il vous plaît Hélène, merci de croiser vos mains derrière votre nuque. Je souhaite pouvoir contempler votre buste tout-à loisir. Et jouer avec, bien entendu.
    
    Un soupir pour toute réponse. Les doigts qui frôlent les seins. Un autre soupir. Puis les tétons qui se durcissent. Encore un soupir.
    
    — Que se passe-t-il donc ? demanda-t-il d’un ton faussement ingénu. Vous ne vous sentez pas très bien, Hélène ?
    
    Re-soupir. Les seins gonflés, la respiration qui s’accélère. Soupirs, soupirs, soupirs encore. Non, ce ne sont plus des soupirs. Des feulements. Les mains qui caressent et se promènent, les mains qui massent, les mains qui pétrissent les seins, la femme à la merci de l’homme, pour ses jeux. La femme qui râle. D’impatience, de gourmandise, de plaisir. La femme qui jouit, une première fois, après quelques premiers et bien timides attouchements. ...
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