1. Repos dominical


    Datte: 04/07/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, chaussures, Oral 69, fsodo, jeu, amourcach, bourge, Auteur: Cedral, Source: Revebebe

    ... réponse, il recula encore un peu son fauteuil, s’y assit bien confortablement, écarta ses propres jambes afin de pouvoir y serrer sa partenaire et recula encore un peu celle-ci du bord du bureau sur lequel elle était en appui. Il était ainsi dans une belle position, parfaitement et confortablement « à sa main » pour faire ce qu’il avait envie, et décidé, de faire.
    
    L’admirer, la caresser, la regarder, la lécher, l’écarter, la toucher. La frôler, la toucher ; la frôler encore, toujours de plus près, ne plus la frôler du tout ; la toucher donc, de plus en plus profondément ; la sentir, la goûter, la déguster. L’écarter un peu plus, en mesurer l’émoi, et l’humidité. Lui écarter les fesses, mettre au jour la raie, découvrir l’œillet rose. Déguster les humeurs.
    
    La perspective de ce programme le remplit d’aise et il se félicitait de l’ouvrage à entreprendre. Il avait décidé ce matin, dans le taxi qui l’amenait, de faire de la belle et douce ouvrage. Il était à la manœuvre. Afin d’améliorer son potentiel d’action, à savoir l’écartement des cuisses d’Hélène, il fit glisser, pour l’enlever complètement, la culotte de soie, dont il mesura, en la ramassant, la très prometteuse humidité et dont il se plut à sentir les forts effluves. Il ne put y résister et voulut absolument faire partager à Hélène cette forte odeur, de sa propre intimité. Il présenta donc devant le nez de la femme, sa culotte qu’elle huma avec un beau sourire. Il la plia ensuite un peu et la plaça délicatement ...
    ... dans la bouche d’Hélène qui se trouvait ainsi, pour un moment au moins, privée de l’usage de parole intelligible.
    
    Il se repositionna, bien assis et calé dans son fauteuil, exactement derrière Hélène. Il lui écarta les jambes et approcha son visage de ses fesses. Il concentra son attention sur l’œillet rose qu’il commença à lécher avec délicatesse et force salive. Il entendait, devinait plutôt car elle n’était pas libre de ses paroles, les feulements de satisfaction naissante de sa partenaire et il entreprit de progressivement élargir cette entrée. Ce fut d’abord l’une des branches de ses lunettes, puis l’autre, qu’il introduisit et fit glisser dans son anus, puis le stylo Montblanc, pour lequel il n’avait pas prévu une si agréable mission et dont il ne pourrait se servir, à l’avenir, sans un souvenir ému pour les doux va-et-vient d’un beau dimanche d’automne. Ce fut encore son auriculaire, puis son index, qui se succédèrent dans le cul d’Hélène, avant qu’il ne croie utile de procéder à une nouvelle et complète lubrification anale. Les légers feulements d’il y a quelques minutes faisaient désormais place à des gémissements assumés qu’il était désormais inutile d’atténuer.
    
    C’est le moment qu’il choisit pour se lever, se déshabiller à son tour, libérer la bouche d’Hélène de son slip afin qu’elle puisse à son tour, par un travail appliqué de sa langue, lubrifier avec soin le sexe qui allait la pénétrer. Un dernier travail de va-et-vient de son pouce, éclaireur avisé du dard ...
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