1. Une nuit de baise ratée


    Datte: 17/05/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Jolasuce, Source: Hds

    ... sperme. Un jour, je m’introduis dans une des pissotières, lieu obligé avant d’aller se dissimuler dans une cabine de toilettes, cabine pour handicapé toujours bien appréciée pour sa dimension permettant des ébats dans un confort relatif souvent parfumé à la merde et à la pisse, mais bon ce n’est pas le nez ni la vue qui sont sollicités à ces moments-là mais bien plutôt la bouche, la queue et l’anus. Donc disais-je un dimanche matin, poussé par un besoin pressant, je me suis introduit dans une pissotière, déjà occupée par deux personnages qui semblait être unis par une bouche-à-queue. Le suceur s’est aussitôt relevé pour donner le change et prendre sa queue molle et la diriger vers l’urinoir. Comme je sortais moi aussi mon instrument sans qu’aucun liquide ne s’échappe mais qui se laissait volontiers caresser, les deux occupants on repris leur échange pino-buccal. J’ai montré un fort intérêt à cette activité en portant un regard avide et jaloux sur l’objet de plaisir prisonnier d’une bouche active, j’avais dévoilé les rondeurs de mon arrière train, ne laissant aucun doute à mes attentes. Le sucé, alors nous a proposé à tous les deux de nous rendre en toute discrétion vers les toilettes pour handicapé caché dans un bosquet à une centaine de mètres de là. Nous sommes sortis d’une manière toute naturelle chacun prenant un chemin différent qui pourtant conduisait au même lieu. Arrivé le premier, je me suis retiré derrière un ...
    ... buisson attendant que le sucé pénètre dans cette cabine, aussitôt entré, je l’ai rejoint et nous avons attendu le troisième larron qui traînait derrière. Celui-ci entré, notre fournisseur de queue à jouir, sans doute un coutumier des lieux, a pris un pull qu’il a utilisé pour occulter une ouverture, ne voulant pas offrir nos ébats à un voyeur quelconque ou plutôt à un gardien suspicieux susceptible de nous attirer des ennuis même si nous nous trouvions entre adultes consentants. La porte fermée, notre queuetard a sorti son engin pour l’offrir à deux bouches gourmandes. Mais au moment de se lancer dans l’action, le deuxième suceur a reçu un appel téléphonique et est sorti aussitôt de la cabine nous laissant seuls. Bon, je n’aurai pas à partager cette queue appétissante. Je me suis agenouillé devant l’objet de mon adoration et je l’ai honoré de ma bouche humide, chaude et gourmande. Je me suis délecté pendant de bonnes minutes mon vis-à-vis désireux de prolonger au maximum ces caresses buccales retenait son éjaculation. J’étais nu, j’avais comme à mon habitude ôté tous mes vêtements pour offrir mon corps aux caresses lascives de mon jouisseur.
    
    Puis, il m’a demandé de me mettre à quatre pattes et m’a couvert de son corps avec sa tige en moi. Je me suis offert totalement à cette sodomie, o combien agréable, qui s’est terminée sur un jet d’artifice dans mes entrailles. J’étais aux anges d’avoir été ainsi honoré par cet actif. 
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