L'esclavage de Juliette Ch. 01
Datte: 03/07/2021,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bylapassagere, Source: Literotica
... flaque formée de ses larmes et de la morve qui coule de son nez et sa bouche. Son corps se tortille au gré de ses sanglots.
« Tu peux crier tant que tu veux. Personne ne t'entendra ici. Tu ne peux pas t'échapper, tu ne peux communiquer avec personne. Tu es seule. Tu es à moi. Et je peux faire ce que je veux avec toi, y compris, te battre à chaque fois que cela me plaira.
- William! »
J'ai abattu ma main une fois de plus sur elle. Cette fois, j'ai visé directement pour son sexe. Je l'ai vu se tendre.
« Apprend à accepter tes sévices en silence et à m'adresser la parole correctement, putain. »
Je me suis écarté d'elle pour aller chercher derrière les portes, dans une grande commode, un anneau de métal auquel est attaché un court fil de métal tressé. Je me suis approché d'elle et j'ai attaché l'anneau à son cou. Avec une clé j'ai pu le serrer fermement contre sa peau. J'ai pris ses cheveux en formant une couette dans ma main et j'ai tiré pour qu'elle comprenne ma position de supériorité comme me le dictait le scénario. Je me suis concentré à avoir une bonne posture, les pieds fermement plantés au sol. Puis avec ma main libre, j'ai pesé sur le bouton sous le support de cuir. D'un coup, les quatre anneaux s'ouvrent et je la tire fermement par les cheveux.
Elle ne m'oppose pas de résistance, mais quand elle fait un premier pas je réalise qu'elle vient d'uriner. Était-ce par défiance ou involontairement?
Je la tire tout de même vers le lit. Je la sens ...
... avancer avec difficulté. Elle glisse dans la flaque d'urine et perd un escarpin. Elle me suit, pliée en deux en clopinant. Je la force à monter dans le lit et j'attache le mousqueton qui est au bout du fil de métal.
Elle a le visage dans l'oreiller, et est à quatre pattes dans le lit le cul dans les airs. Comme me l'a conseillé la psychologue, je sors prestement de la chambre sans regarder derrière moi. Avec ma carte, je fais verrouiller la porte et je m'en vais dans le salon.
Dans l'heure qui a suivi, j'ai pleuré en buvant la bouteille de vin dont Marcel n'avait pas voulu. Je n'ai pas osé aller voir le système de surveillance de la chambre. En verrouillant la porte toutes, les lumières s'étaient éteintes et j'espérais que Juliette s'était endormie. Cette nuit-là je n'ai pas dormi beaucoup même si aucun son n'émane de la chambre de Juliette. Je fais un cauchemar dans lequel je me réveille pour trouver une Juliette morte pendue au milieu de sa chambre.
***
La psychologue Elizabeth Englehart m'avait été présentée par un ami. Quand je l'ai passé en entrevue, j'ai réalisé que mon ami ne la connaissait pas si bien qu'il m'avait laissé le croire. Mais elle m'a plu dès le début. Ce matin dans mon lit je repensais à ce qu'elle m'a dit dans les premières minutes : être un maître, que ce soit d'un animal ou d'un esclave, à bien plus avec le contrôle de ses propres émotions que le contrôle de l'autre. Elle me testait. Clairement, elle n'avait pas besoin de travailler. Dans la ...