1. Mon Apocalypse à Moi 06


    Datte: 02/07/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byDesonrage, Source: Literotica

    ... retirais avec un bruit humide. Je me plaçais à sa tête. Sur mon ordre, elle se plaça docilement à quatre pattes et je me nettoyais sur sa langue.
    
    En fin d'après midi, Suzy gémissait de nouveau sans s'arrêter, se tenant le ventre. Je détachais sa laisse du radiateur et l'emmenais dans le jardin. Je crochais mes doigts dans le support du plug et tirai un coup sec. Elle expulsa sa merde et son urine à quatre pattes, les fesses le plus en arrière possible. C'était un spectacle mémorable. Je faisais faire ses besoins à la chienne. Derrière les fenêtres de la pièce, je voyais les autres admirer le spectacle.
    
    Je lui avais ordonné de faire attention à ne pas en mettre partout, sous peine de connaître le fouet . Elle faisait attention. Ne pas subir le fouet était tout ce qu'elle espérait. Lorsqu'elle eut fini, je la fis progresser de deux mètres, toujours à quatre pattes dans l'herbe humide. J'inspectais le bas de son son corps.
    
    -C'est bien, bonne chienne. Dis-je en lui grattant la tête.
    
    Son anus baillait, élargi par le plug. Je la fis s'incliner vers le sol et le remis en place. Un râle d'agonie sortit de Suzy, mais elle ne résista pas, ni ne tenta de s'échapper. Je rentrais la chienne, puis , rafraîchi par l'herbe humide, la redressais sur les genoux. Je plaçais mon sexe ramolli dans l'écarteur et ordonnais"avale". J'avais consulté un blog sur l'éducation canine, et je voulais voir si je pouvais éduquer une humaine. En tout cas elle raidit sa position et déglutit ...
    ... régulièrement. C'était doux et bon parce que contraire à la nature. J'autorisais Kévin à la prendre ensuite, ce qu'il fit sans se faire prier. Lui aussi se nettoya sur sa langue tandis que je discutais avec Katia et Christelle d'idées de distractions. J'aimais bien la pute moldave. Elle avait bien été dressée et se vantait régulièrement d'être la meilleure du cheptel de Boban, son souteneur, et d'être une call girl de classe et pas une pute de chantier. Elle s'acquittait sans rechigner des tâches les plus pénibles, et ne protestait pas, ni aux ordres de Farida, ni aux miens. Farida, depuis sa leçon du matin, menait son monde à la baguette. Au fouet électrique à chien serait plus juste comme terme, d'ailleurs. Au repas du soir, j'annonçais que le lendemain serait dédié à une belle partouze. Il était temps que toutes les filles goûtent les unes aux autres. Pour l'occasion, on sortirait des sex toys et les hommes prendraient le nécessaire pour tenir la distance.
    
    -Ça serait mieux de nous mettre deux par deux, dit Christelle.
    
    Je toisais l'importune.
    
    -Je ne te demande pas ton avis. Répondis-je .
    
    -Ça serait plus sympa.
    
    Je la regardais fixement. C'est un regard sur j'ai mis au point en classe. Je laisse affleurer la colère pour calmer les importuns, et j'accompagne ces yeux terribles d'une expiration nasale. J' essuyais mes lèvres en les tamponnant de ma serviette blanche.
    
    -Kévin. Encule Christelle. Lachais-je
    
    -Mais... commença Christelle.
    
    -Un mot de plus et c'est à ...
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