1. Kabir, maman et moi (3)


    Datte: 02/07/2021, Catégories: Gay Auteur: lo1ka, Source: Xstory

    Les jours suivants, Kabir ne rentrait à la maison que pour se coucher, puis partir immédiatement après le réveil. Autant dire que l’ambiance à la maison était morne, et que maman avait l’air de sombrer petit à petit dans de graves états de dépression. Kabir voulait sodomiser maman, mais aussi nymphomane soit-elle, elle ne supportait pas cette pratique. Du moins pas aussi longtemps que Kabir souhaiterait, lui dont la vigueur et l’endurance dépassaient les standards d’un acteur porno. Il fallait faire quelque chose...
    
    Vendredi soir, Kabir s’est finalement décidé à passer un peu de temps dans le salon. Posé tout seul sur le grand canapé, où maman lui servait généralement de dépose-bite, il regardait un match de Ligue 1 en buvant une bière. Il était dans son éternel débardeur blanc et son caleçon qui moulait son gros paquet au repos. Maman était enfermée sa chambre, comme souvent depuis que Kabir ne traîne plus à la maison. Elle savait probablement que Kabir n’était là que pour le match, et qu’il repartirait ensuite comme si de rien n’était. Deux jours auparavant, j’avais eu la bonne idée de prendre rendez-vous chez un institut de beauté pour faire une épilation intégrale. Maman, consumée par l’angoisse, ne l’avait même pas remarqué. J’ai toujours eu des fesses et des jambes très féminines. Un peu comme celles de maman, elles étaient rondes, rebondies, un tout petit peu grasses, mais juste ce qu’il faut. Il n’y avait que mes poils qui permettaient de les distinguer de ...
    ... celles d’une femme.
    
    Mais m’en voici désormais débarrassé. J’en profitai pour enfiler un caleçon noir moulant que je n’avais plus mis depuis plusieurs mois, sûrement parce qu’il devenait un peu trop petit pour moi. Mais maintenant que j’étais complètement épilé, il n’y avait pas de gêne à le mettre. Au-dessus, je portai un t-shirt rose assez large, qui mettait en contraste la forme de mon caleçon. Je mis un petit peu de parfum sur mon cou et l’intérieur de mes poignets, puis sortis de ma chambre vers le salon.
    
    Je passai devant Kabir puis me cambrai un peu pour prendre la couverture sur le canapé, celle dont se servait auparavant maman pour m’épargner la vue ses fesses en train de prendre de grosses claques. Je sentis le regard de Kabir se détourner de l’écran de télévision vers mes fesses offertes à sa vue. Je m’attardai exprès en ramassant la couverture pour le faire profiter du spectacle. Kabir ne nous avait pas habitués à un comportement aussi... taciturne. Je devinai son étonnement devant le spectacle qu’il voyait et le besoin qu’il avait, pour une fois, d’y réfléchir deux fois pour comprendre ce qu’il se passait.
    
    Je me posai sur le fauteuil à côté du canapé, recouvris mes jambes et me mis à regarder le match. Kabir, qui ne m’avait pas lâché du regard depuis que j’étais dans le salon, se décida enfin à parler.
    
    — Hé, p’tit pédé, la couverture j’en avais besoin, me lança-t-il sur un ton méprisant.
    
    — D’accord Kabir, tiens, je vais en chercher une autre pour moi, ...
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