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Garce en joli cadeau
Datte: 02/07/2021, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster
... m'adresser la parole après qu'elle eût fricoté dans le coin. Elle devinait mon dépit. Je rongeais mon frein. J'eus bien voulu être de ceux qui la sautaient d'autant que ceux-ci n'étaient pas nécessairement des Apollons ou des types important ou friqués. Même que certains me paraissaient sinistres voire minables. Qu'avaient-ils de plus que moi ? Sa conversation à bon escient roulait sur des banalités. Cela durait le temps qu'elle grillât sa clope. Il fallait démêler entre ses mots, un sens impertinent. Cela voulait dire : Ne suis-je pas une grosse Salope ? L'été c'était infernal. Je percevais qu'à l'instar d'autres garces elle pouvait ne rien porter sous sa jupe ou sa robe légère. Un matin elle voulût même m'en faire démonstration. Fit-elle exprès de faire tomber ses clefs devant moi. En tout cas après qu’elle se fut baissée et demeurât assez longtemps, je vis assez distinctement son cul et en point de fuite sa chatte. Je peux assurer qu'aucun de fil de string ne témoignât qu'elle ne fut nue dessous. Se relevant elle tourna vers moi sa tête charmante. Je perçus dans son sourire la joie de m'avoir fait bander comme un malheureux. Un type de son service me confirma qu'en ces occasions aucune main au cul ne lui était épargnée. Il sembla même qu'elle le recherchât. C'était selon en leur bureau ou à la machine à café ou à la photocopieuse. Je dirais que deux, trois fois la journée elle se faisait tringler. Elle n'en exigeait pas moins la capote. Elle disait pudiquement ...
... qu’elle était mariée et devait respect à cela. Bref je m’acheminais vers une fin de carrière sans que je n'eus aucun espoir d’att****r cette coquine. J'y étais résigné et lui en voulais assez. Le percevant elle disait riant: « Je sais, je suis une méchante ! » Le curieux est que je connaissais son homme. Celui-ci la venait chercher quelque fois et alors papotait un temps à ma guérite. Il avait fait l'armée et nous avions des souvenirs communs sur les Tahiti et autres. Cela me crevait le cœur que ce bon bougre fut cocu et que ceux qui le trompaient allègrement venaient perfidement lui serrer la main. Mais qu'y pouvais-je faire ? Les putes sont plus anciennes que le monde. Annie avait le feu au cul. Elle ne faisait pas à mal. C'était plus fort qu'elle. N'importe quel mâle la culbutait hormis moi. La dernière année je fus scotché que le type du mazout après un sommaire baratin obtint d'elle qu’elle grimpât en son camion. C'était prétexte qu'il faisait froid et qu'elle voulait y griller sa clope. Je vis assez vite sa tête disparaître un temps. Je compris : elle le pompait dare-dare. Celui-ci avec sa tête de con avait la gueule ouverte subissant l'ouragan. Quasi en direct et je pouvais observer le phénomène. Il démarra son bahut pour aller plus loin. Il revint plus tard pas peu fier. Ce salaud ne put s’empêcher de se vanter. « Quel salope ! Elle m'a sans peine donner le cul ! ». Heureusement j'avais Phil un bon pote. Il était jeune et beau gosse. C'était le seigneur de ces ...