Tante Aline (7) - Histoires de Sexe

Tante Aline (7)

Après la révélation de la grossesse d’Aline, ma "paternité" future et l’épisode piscine, je suis tout chamboulé et quand cela arrive, je me tourne vers maman, mais ces jours-ci elle a autre chose à faire et semble m’ignorer totalement, en dehors des actions journalières habituelles. De plus, je remarque qu’elle n’est plus jamais légèrement vêtue en ma présence. J’ai beau multiplier les gestes d’affection, elle les prend comme si cela lui est égal ...

Cela dure quelques jours et je suis de plus en plus désemparé, Maman me fait la gueule, Aline est très occupée et Marc est accaparé par son travail. C’est indirectement Papa qui débloque la situation ...

Un matin, je me dirige vers la cuisine, encore tout ensommeillé, j’ai ma tenue habituelle, un boxer sans tee-shirt. Maman a préparé du café et Papa est déjà parti.

— Bonjour Maman.

— Bonjour mon grand, ... mais enfin tu pourrais t’habiller un peu.

— Je suis comme ça tous les jours ...

— Oui, sans doute, mais maintenant ça suffit, vous êtes bien tous les mêmes, les hommes.

Je ne comprends rien à cette discussion, je suis comme ça tous les matins d’été et cela ne l’a jamais fait réagir de cette façon. Elle s’est tue, mais soudain je vois une larme couler sur sa joue.

— Que se passe-t-il, Maman ?

— Rien, rien, c’est ton père ... et puis Aline qui ne vient plus, ça m’énerve et en plus tu te promènes toujours en petite tenue.

— Excuse-moi, avant ça ne t’embêtait pas ...

— Oui, je sais, mais avant, ...

... c’était avant ...

— Moi j’aimerais qu’on soit encore avant !

— Moi aussi, que rien ne se soit passé, que ton père me montre son amour, qu’Aline soit là et ... Oh j’en ai marre !!

Elle vient vers moi, je suis assis, elle me prend dans ses bras.

— Mais tout ça n’est pas ta faute, mon chéri.

Ses gros seins s’écrasent sur mon front, je la serre dans mes bras ...

— Oh Maman, je croyais que tu ne m’aimais plus ...

— Bien sûr que je t’aime grand nigaud, mais pas comme je devrais ...

Je l’ai entourée de mes bras, je serre son corps contre moi, dans cette position, mes mains sont plaquées quasiment sur ses fesses, mon sexe se dresse, elle m’embrasse la tête en me dorlotant, je me laisse aller totalement en respirant son odeur forte et enivrante, pour moi. Instinctivement, je la caresse, je retrouve sa chair voluptueuse sous mes doigts, je palpe plus fermement, lentement je glisse sur les cuisses potelées, puis arrivé à la lisière de son tablier, qu’elle porte toujours à la maison, je touche la peau nue à hauteur des genoux, remontant maintenant par l’arrière des cuisses ...

Ses bras serrent plus fort ma tête, je la sens frissonner, mais d’un geste brusque, elle me repousse

— Non, plus maintenant, il ne faut pas, je ne veux plus.

Je me lève devant elle, la regarde au fond des yeux, elle semble m’implorer, je m’approche, nous sommes tellement proches que je sens son souffle sur mes joues et, son ventre touche mon sexe. Prudemment, j’avance les lèvres et ...