1. Double trouble


    Datte: 02/07/2021, Catégories: fh, couleurs, extracon, Collègues / Travail Oral fgode, pénétratio, fsodo, Auteur: EliasK, Source: Revebebe

    ... commencé à lâcher un peu de sperme lors de cette première saillie précipitée ; je crus que c’était fini. Mais, à sa demande, j’ai senti une nouvelle érection.
    
    Elle se retourna. Elle mit ses mains sur le bureau. Elle avait toujours sa jupe. Je la relevai et j’humidifiai rapidement mes doigts afin de la préparer. Je ne l’avais jamais fait, mais il me semblait qu’il fallait que je le fasse ainsi.
    
    Je caressai son énorme fessier et commençai à titiller l’endroit où peu sont allés. J’écartai un peu son cul, puis elle me dit d’une voix rauque et sûre :
    
    — Vas-y, fais-le. Défonce-moi, s’il te plaît.
    
    Elle écarta ses deux lobes, me donnant une vision directe sur son petit trou du cul.
    
    Je n’en pouvais plus, alors j’ai posé mon gland à l’entrée de son cul. Puis je suis rentré. C’était serré, mais il fallait que je tienne bon. J’y allai par petits à-coups. Il fallait qu’elle s’habitue pour qu’elle puisse réellement apprécier. Elle respirait vite et fort. Elle était beaucoup plus discrète que Sandrine : tout dans la retenue, elle était concentrée sur son propre plaisir.
    
    Je voyais sa montre à son poignet. À chaque coup que je donnais, elle tapait doucement sur le coin du bureau. Je voulais que cette montre fasse davantage de bruit, qu’elle soit coordonnée avec notre ballet étrange. Je commençai à accélérer.
    
    C’est à ce moment-là que cette saloperie de téléphone sonna. Édith m’ordonna de m’arrêter.
    
    — Attends deux secondes.
    
    Je pensais qu’elle avait la trouille que ...
    ... rien que le fait que ce téléphone sonne on puisse nous entendre. Mais elle fit bien pire que ça : elle décrocha.
    
    — Allô ? Oui ?
    
    Bon sang ! C’est pas vrai ! Elle voulait répondre au moment le plus important ! Tant pis pour elle : on n’arrête pas une locomotive en marche ! Je recommençai à la bourrer gentiment, puis j’accélérai.
    
    — Non, je ne peux pas, continua-t-elle en haletant. Je suis avec monsieur Levot, et c’est assez compliqué.
    
    « Tu m’étonnes ! Une bite dans son cul, c’est compliqué à expliquer ! »
    
    — Oui, non, il est assez difficile à satisfaire comme financeur…
    
    C’en était trop. Je ne sais pas si elle a fait exprès de choisir ces termes-là, mais j’ai commencé à m’activer sérieusement pour lui faire payer son affront.« Oui, je suis difficile à satisfaire, mais je vais te faire jouir par un endroit que tu ne soupçonnais pas. »
    
    Je pris un petit pot incurvé qui traînait sur le bureau. C’est un truc qui habituellement sert à mettre des stylos, mais il avait une forme particulière, un peu arrondie à sa base. Je le vidai et m’en servis comme godemiché d’appoint. Je le lui rentrai dans la chatte. Elle mit sa main devant sa bouche et se la mordit. Elle avait ses deux orifices occupés. Je passai alors ma main sous son ventre et je me mis à caresser son clitoris.
    
    La manœuvre étant un peu compliqué, j’ai pu me retenir ainsi quelques minutes. Mon but était qu’elle me supplie de la faire jouir.
    
    — Non, je suis désolée, han, je ne peux, han, pas vous parler, han, ...
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