1. Je te veux


    Datte: 01/07/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Badmax, Source: Hds

    Je te veux.
    
    Je viens de me réveiller et en ouvrant les yeux, j’ai vu immédiatement ton corps nu. En effet tu n’es pas couverte et la position dans laquelle tu continues à dormir me fait penser à la façon dont je t’ai laissé hier, après t’avoir fait l’amour. Tu es sur le dos, tes bras le long de ton corps, tes jambes sont pliées et écartées, tes pieds touchent presque tes fesses. Les pointes de tes seins montent au ciel, ta bouche est légèrement entre-ouverte. Moi je suis allongé prés de toi et mes yeux fouillent ton corps qui m’appelle ignominieusement. Oui, encore et encore tu me donnes envie de toi et pourtant tu dors et tu ne demandes rien, pas de geste d’envie, pas d’invite sournoise, tu dors…
    
    Je ne veux pas gâcher de suite ce plaisir de voyeurisme, ce trésor que je suis seul à regarder, ce tableau que j’admire, ce nu si naturel. Je reste un long moment sans bouger pour ne pas te réveiller. Plus je te regarde, plus mon pénis reprend sa forme de combattant. Il se met à grandir et sa verge glisse le long de mon entre jambe pour venir s’exhiber à hauteur de mon nombril. Son gland me fait maintenant face, il me regarde agressivement. Mes testicules ont bougé en même temps et viennent se placer d’elles-mêmes en position d’attaque. Coincées entre mes cuisses, je ne peux m’empêcher de les libérer d’un geste de ma main, l’érection devient encore plus forte et mon phallus devient arrogant. Mes yeux se portent sur tes tétons, tes auréoles rosées, puis sur la rondeur de tes ...
    ... seins. Combien de fois, j’ai pris du plaisir, j’ai joué avec ces deux tétines, je les ai mordillé, sucé, tiré, j’ai également joué avec ces deux montagnes naturelles, où j’ai souvent frotté mon sexe dans cette tendre vallée. Je n’ose maintenant les toucher de peur de te réveiller. Puis j’admire ce nombril, cette serrure où parfois je mets ma langue pour chercher à trouver ton âme. En le léchant de nombreuses fois, tendrement et précieusement, j’ai réussi à te donner envie de moi. A chaque fois tu t’es ouverte et cela a fini à l’intérieur de toi. Ma pensée descend encore plus bas et je suis avec mes yeux à hauteur de ton sexe. Ce sexe qui n’est pas rasée, mais dont ses poils sont si bien entretenus et coupés que cela ressemble à un tapis doux et moelleux où quelques fois mon visage vient se caresser, se frotter, comme une abeille cherchant son pollen. Je regarde tes lèvres sexuelles pliées soigneusement, adhérent à ta peau, faisant le contour de ta foufoune, se réunissant entre elles pour empêcher tout intrus n’étant pas invité à pénétrer dans cette cache personnelle. Elles sont les murailles d’un château fort, protégeant le donjon, où en ce lieu se trouve un petit trésor qui sous son capuchon ne demande qu’à briller, à étinceler, à être découvert. Derrière son armure faite d’une peau douce et soyeuse, ce joyau ouvre les portes au noble chevalier armé de son épée, sortie de son fourreau. Une épée qui en ce moment me perturbe car je suis obligé d’échapper à mes pensées et je ne ...
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