1. Omar le premier jour de croisière


    Datte: 01/07/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    ... chez elle, sa façon de crier, sa façon de se débattre, la fa-çon dont elle avait lutté, ses sanglots, mais le meilleur restait à venir.
    
    - "Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee .......
    
    Cette douce musique retentit à nouveau dans ses oreilles alors qu'il s'en-gouffrait avec succès dans son fourreau étroit, s'enfouissant du premier coup au fond de son utérus si resserré.
    
    Une bite bien plus grosse que celle de son mari s'enfonçait brutalement dans sa chatte étriquée, la distendant aux limites de la rupture.
    
    Il se retira lentement et d'un violent coup de boutoir s'enfonça encore plus profondément dans son utérus meurtri, visitant des zones jusqu'ici inexplorées, elle comprit alors qu'elle n'oublierait la taille démesurée de cette bite qui forait son trou en elle.
    
    - "Arrêtez .... Arrêtez ..... S'il vous plait .... Arrêtez je vous en prie ..... J'ai, mal ..... Si maaaaaaaaaal ....." hurlait elle tétanisée de dou-leur.
    
    Elle comparait ce qu'elle subissait à ce qui se passait normalement entre amants ordinaires, d'après ce qu'elle avait vécu jusqu'ici, n'ayant connu que le pénis de son mari qui s'avérait au moins deux moins épais et moins large que celle de cet ignoble individu.
    
    Omar railleur ironisait :
    
    - "Alors ma gentille petite beauté américaine ... A la peau si douce, si soyeuse ..... A la chatte si étroite .... Apprécies- tu la bite de l'africain!....."
    
    Comme il s'y attendait, elle s'était débattue deux fois plus vigoureusement à cette ...
    ... information, elle savait maintenant que son violeur était noir, ce pourquoi il se fondait si bien dans l'obscurité les environnant.
    
    Dans les ténèbres, Omar sourit il adorait voir sa victime redoubler d'efforts pour se libérer.
    
    De ce fait,il s'enfouissait de plus en plus profondément dans sa ravis-sante proie ... La bourrant jusqu'à la garde alors qu'elle laissait échapper de déchirants cris de détresse.
    
    Soudain sa résistance s'amollit, Omar savait que le combat était terminé, la somptueuse pute était définitivement matée. Il relâcha ses poignets et lui saisissant les hanches il commença à coulisser lascivement en elle. Ravagée par la douleur, Laurie savait qu'elle ne serait plus jamais la même, que l'innocente jeune femme que tant de monde admirait était morte en elle.
    
    La bite tressautant de plaisir de posséder cette splendide pouliche rétive, Omar sentait ses couilles s'emplir d'un jus épais qu'il ne tarderait pas à lui injecter au plus profonde de son intimité.
    
    Que pouvait-il espérer de mieux que de la rendre mère de petits bâtards noirs? ...... Elle était belle la vie!........ pensa-t-il goguenard.
    
    Il la martelait maintenant à la vitesse tel un marteau piqueur, il s'ensevelit dans son fourreau et grogna :
    
    - "Ahhhhhhhh ..... Ahhhhhhhhh ..... Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhh ....." jet après jet, il remplissait à ras bord la chatte asservie de la jeune femme effondrée.
    
    C'est dans un clapotis révélateur qu'il termina de la baiser, le surplus de foutre s'écoulait en larges ...
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