1. Devenir la plus salope des salopes (3)


    Datte: 30/06/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Emi.Nipal, Source: Xstory

    ... hypnotisés par ma poitrine.
    
    — Tu es... la plus belle femme que j’ai jamais vue, me chuchote-t-il.
    
    J’approche de son oreille, mes seins s’écrasent contre sa poitrine. Il m’attrape les fesses pour me serrer encore plus contre lui.
    
    — Et je t’appartiens, papa..
    
    Silence.
    
    — Tu veux voir à quel point je suce bien ? Je pense que ma bouche est le meilleur endroit pour ta bite.
    
    — Oui.
    
    Je glisse le long de son corps en m’agenouillant. Je sors son sexe dur, le lèche tendrement, le suce tendrement...
    
    Je lève les yeux vers lui et je lui demande :
    
    — Alors ça fait quoi de se faire sucer par sa propre fille ?
    
    — C’est trop bon.
    
    — A partir de maintenant, considère que je suis ton objet. Je t’appartiens entièrement, je suis ton esclave sexuel. A une condition : que tu m’apprennes à être la plus salope de toutes les salopes que cette terre ait jamais portée. J’ai besoin que tu m’aides à transcender mes propres frontières. S’il te plaît.
    
    Un sourire carnassier le traverse et la tendresse s’arrête aussitôt.
    
    — Alors prend ça, petite pute.
    
    Il me prend par les cheveux et me ramène brutalement vers sa bite. Il me baise la gorge ensuite sans ménagement, pour son seul plaisir. Je sens sa colonne de chair s’enfoncer et ressortir de ma gorge. Je n’ai absolument aucun contrôle. Il utilise ma tête comme un sex-toy et se branle avec. J’adore, je profite du moment. Avec son autre main, il me pelote les seins. Je le sens marmonner « putain... putain... ».
    
    Tout aussi ...
    ... brutalement qu’il a commencé à me faire un facefucking, il s’enlève, me retourne, me prend par les hanches et me pénètre. Les bras appuyés sur mon lit, mes seins ballottent au rythme de ses coups de boutoirs. Je le sens bien en moi, c’est bon, trop bon. Mon père... mon père est en moi et ça dépasse tout ce que je pouvais imaginer. Mon frère, c’était quelque chose, mais mon propre père. Ce tabou brisé associé à ses coups réguliers me fait jouir. Il entend que je commence à gémir, mais il ne faut pas faire de bruit ! Il ramasse ma chemisette et me la fourre dans la bouche, en bâillon.
    
    Voilà, c’est comme ça qu’on traite une pute, merci papa.
    
    Je retourne légèrement ma tête alors qu’il continue de me limer la chatte afin de le voir à l’œuvre. Du coin de l’œil, je vois qu’il a un visage dément et qu’il ne se contrôle plus du tout.
    
    Il ne tient pas très longtemps : je pense qu’il attend ce moment depuis un bon moment. Il sort de moi, amène, encore une fois brutalement mon visage près de sa bite en me tirant par les cheveux. Je recrache la chemisette, j’ouvre ma bouche et tire la langue, comme je l’ai vu mille fois dans les films ; et je prends une expression comme si ce qu’il allait me donner était le plus beau trésor du monde. Ce qui était vrai : ça fait des semaines que j’ai soif de sperme. Alors le sperme de mon père, pensez-vous !
    
    Il y en a une quantité impressionnante. Les premières giclées arrivent dans ma bouche. C’est bon, c’est chaud. Différent de celui de mon ...