1. Béatrice et la panne de voiture


    Datte: 30/06/2021, Catégories: Anal Hardcore, Sexe Interracial Auteur: hondo1906, Source: xHamster

    ... redémarrer sans succès, le trapu est venu de mon côté et l’arabe et le nain côté passager, la nuit était douce et claire, mes vitres étaient baissées, et la vue que je donnais devait les faire pas mal fantasmer, ma robe était remontée pendant le trajet et mon string était bien visible…
    
    Ça sentait l’essence. Je leur expliquai mes ennuis, je voulus essayer de démarrer à nouveau, mais celui à ma gauche me dit d’attendre, en posant sa main velue sur mon bras nu, ce qui me fit frissonner. Il me dit d’ouvrir le capot, mais je ne savais pas ; il ouvrit alors la portière, le plafonnier s’alluma, augmentant la vision érotique de ma position sous les regards exorbités des hommes.
    
    Le nain fit le tour de ma voiture à toute vitesse et plongea pratiquement entre mes cuisses afin de trouver la manette d’ouverture du capot. J’ai dû ouvrir mes cuisses pour le laisser passer dessous, sous le regard vicieux du vieux qui se passa la langue sur ses lèvres en voyant ma fente bien soulignée par le string. L’arabe ouvrit l’autre portière et regarda la scène, avant de s’asseoir après avoir enlevé mon plan et mon sac. Je me tournai pour mettre le tout sur la banquette arrière, et dans le mouvement mon corsage s‘ouvrit davantage. J’étais encore prisonnière de ma ceinture de sécurité, et je ne pouvais remettre de l’ordre dans mes vêtements, ce dont je n’avais aucune envie, et bien au contraire cette situation me plaisait beaucoup.
    
    Le nain avait trouvé depuis longtemps la manette d’ouverture du ...
    ... capot, mais ne sortait pas de dessous pour autant, il est vrai que ses yeux étaient à 20 cm de mon entrecuisse, ses yeux lui sortaient de la tête et je vis qu’il bandait. Il n’était pas le seul ; l’arabe et le trapu avaient chacun une belle bosse qui déformait leur pantalon.
    
    Ce doit être le gicleur, dit le vieux, il suffit de souffler dedans (j’avoue avoir pensé à d’autres gicleurs, mais il ne fallait pas souffler dans ceux-là). Il envoya le nain chercher des outils, puis après avoir dévissé et soufflé, il le remit, puis me dit de redémarrer. Avant que je tourne la clé de contact, l’arabe posa sa main sur la mienne et me dit d’appuyer à peine sur l’accélérateur pour ne pas noyer le moteur, disant cela sa main se glissa sous ma cuisse, sans doute pour éviter que j’appuie trop !
    
    La voiture démarra, mais cafouilla encore un peu, le vieux me conseilla de ne pas rester au milieu de la route, il passait personne mais bon… un peu plus loin, il y avait un petit terrain tranquille où il pourrait finir la réparation, je n’étais pas dupe, mais j’avais passablement envie de faire des bêtises !
    
    Nous reprîmes la route, l’arabe à côté de moi (sa main sur ma cuisse), les autres suivant avec le fourgon.
    
    L’arabe s’était rapproché de moi et me caressait de plus en plus haut, il passa sa main sous mes cheveux et m’embrassa dans le cou, me faisant frissonner, puis sa main arrivée en haut de ma cuisse emprisonna ma chatte. Je poussai un petit cri et me mordis les lèvres. Les phares du ...