1. Clara et le dogging


    Datte: 30/06/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Hardcore, Partouze / Groupe Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... :
    
    « Vous étiez toute nue, c’était un très bon moment. »
    
    Confuse, j’ai regardé autour de moi, les piétons qui passaient, sans doute pour m’assurer que je ne connaissais personne.
    
    Puis je suis revenue à l’homme en disant :
    
    « Ces moments sont des parenthèses dans notre vie, à mon compagnon et moi. On fait en sorte de ne rien mélanger. »
    
    « Je comprends, m’a dit l’homme. A chaque fois que je me rends au lac, je fonctionne de la même façon. Je suis à la retraite, je suis marié et j’ai des enfants. Et vous, en avez-vous ? »
    
    « Non, dis-je. »
    
    Il a hoché la tête et regardé autour de lui à son tour.
    
    Il a dit :
    
    « Me permettez-vous néanmoins de vous offrir un café ou un verre ? »
    
    J’ai réfléchi.
    
    J’ai eu une pensée pour Olivier et pour l’accord qu’on avait passé tous les deux au départ.
    
    Mais j’ai aussi pensé au plaisir que je ressentais à chaque fois que je taillais des pipes à des hommes, tandis qu’Olivier se faisait sucer par la nana d’un autre couple qui faisait du dogging comme nous.
    
    Le plaisir de le faire sans qu’il me voie.
    
    Mais j’ai pensé à autre chose aussi : à cette envie secrète qui m’avait traversée à plusieurs reprises, sur les parkings, d’aller jusqu’à la pénétration à certains moments, tout simplement parce que j’étais excitée, que j’avais une bite dans la bouche et qu’une main était en train de me caresser le clitoris.
    
    Alors je me suis tournée vers cet homme et je lui ai répondu :
    
    « Pourquoi pas… »
    
    Et nous avons cherché un ...
    ... bar discret.
    
    C’était en pleine après-midi et il faisait un temps radieux. Le bar que nous avons choisi se trouvait dans une ruelle. Nous nous sommes installés à l’intérieur et on a commandé deux demis.
    
    L’homme ne me quittait pas des yeux, et je ne pouvais évidemment pas m’ôter de la tête le fait que je l’avais sucé et qu’il m’avait vue à poil. Il avait éjaculé dans ma bouche et je ne me souvenais pas de lui.
    
    J’ai supposé qu’il pensait à la même chose, et je ne lui en ai pas voulu, dans ce petit bar, que son regard se porte souvent sur l’échancrure de la robe que je portais ce jour-là. Elle était blanche, très sobre.
    
    Il m’a dit :
    
    « Je dois vous avouer que je suis ravi de vous avoir croisée dans la rue de cette façon. »
    
    Je ne me suis pas sentie autorisée à lui répondre que moi aussi j’étais ravie. On nous a livré nos bières l’instant suivant, puis on a trinqué.
    
    Ensuite, il m’a dit :
    
    « Avez-vous prévu de vous rendre au lac prochainement ? »
    
    « Oui, probablement vendredi. »
    
    « Vers quelle heure ? »
    
    « Comme d’habitude, à 21 heures. Vous y serez ? »
    
    Il a secoué la tête en souriant :
    
    « Je pense que je vais me débrouiller pour venir, même si cela risque d’être compliqué avec ma femme. J’aurai grand plaisir à vous retrouver dans cette parenthèse de la vie. »
    
    Il y eut un silence, puis il ajouta :
    
    « Même si au fond, ces expériences restent frustrantes. »
    
    « Frustrantes ? ai-je répondu. »
    
    « Oui. Vous sucez et on vous caresse, mais nous en ...