Océane
Datte: 30/06/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Première fois
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: charime, Source: xHamster
... ne m’a jamais appris, celui que l'école de tes professeurs traite de dévergondé, de bon à rien. Je suis un libertin qui aime baiser, pour te parler très franchement. Tu vois, je ne te cache rien. Toi aussi, quand tu rentreras chez ta mère, tu seras aussi franche avec elle que je lui suis avec toi.
Océane me regarde, médusée, ne sachant que penser. Alors, je lui ouvre encore les yeux davantage.
- Maintenant, imagine que tu sois dans la rue, que tu rentres chez toi, que l’homme de tes rêves, beau comme un dieu t’aborde, t’offre de boire un verre en sa compagnie à une terrasse, qu’il te drague ou te conte fleurette si tu préfères, tu ferais quoi ?
- Rien je continue ma route, il est très inconvenant qu’un homme drague une femme dans la rue enfin, cela ne se fait pas !
- C’est là que tu as tout faux. Remarque, et ça ta mère ne te l'a jamais dit, c’est une des raisons qui a poussé ton père à quitter ta mère. Il ne supportait plus qu’elle ne veuille lui faire l’amour et que l’amour avec un grand A que quand elle, elle en avait envie. Pire, elle refusait même de juste baiser pour avoir le plaisir de jouir, d'avoir des orgasmes. Ton père avait des besoins sexuels si grands que ta mère les lui refusait systématiquement sous prétexte que cela n’était pas bien, tu vois. Maintenant que ta mère est seule, c’est chez moi qu’elle vient se faire baiser et même sodomiser comme une cochonne. Tout ça parce qu’un jour elle a compris que ton père avait raison. Tu comprends mieux ...
... ?
- Non, mais je crois savoir où vous voulez en venir, vous voulez coucher avec moi, me baiser comme vous dites !
- En te regardant, cela m’a traversé l’esprit, effectivement, du moins, dans ma tête. Tu es belle et ton corps appelle aux caresses les plus douces, les plus lascives. Tu vois que je te dis le fond de ma pensée, je ne te cache rien. Mais en ce moment, non, enfin si, mais ce que je veux avant tout, c’est que tu te libère du joug de ta mère qui t’empêche de t'épanouir pleinement. Bien, on va passer à l’étape suivante, retire ta robe, seulement ta robe. Imagine, en l’enlevant, que devant toi se trouve l’homme de tes rêves et que tu veuille le séduire.
- J’ai peur, monsieur.
- Sache que je ne vais pas te toucher sans que tu ne sois explicitement d’accord. Je ne veux pas faire de toi une pute ou une esclave. Je veux juste faire de toi la femme libérée que tu mérites d’être, belle, fière de son corps.
- D’accord, mais ne riez pas.
- Je ne vais pas rire. Encore une chose, si tu vois une bosse vers sous ma robe de chambre, c’est que je te trouve terriblement désirable. Alors retire ta robe maintenant en prenant ton temps comme pour séduire ton prince charmant, tout ton temps.
Je la vois rougir, cela lui donne un petit air coquin qui n’est pas pour me déplaire. Lentement, me fixant de ses yeux noisette, elle laisse glisser la robe à ses pieds. Le fait de relever délicatement son pied droit pour enjamber sa robe me met en émoi. Le geste nonchalant est si ...