L'art du parler cru
Datte: 29/06/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Micky, Source: Hds
... ?
- Non, dans la région. Au début, on s'est vraiment éclatés. Bernard et moi, on a toujours été très portés sur le sexe. D'ailleurs, tu le sais très bien.
- Que veux-tu dire par là ?
- Ne fais pas l'idiot. Tu crois qu'on ne t'a pas remarqué quand tu nous espionnais en train de faire l'amour quand tu étais en vacances avec nous ?
- Euh... Je...
- Ne t'excuses pas, c'était normal que tu nous mates et d'ailleurs, on le faisait un peu exprès. Ta mère m'avait passé la consigne : dégrossis-le. Il ne sait pas ce que c'est qu'une femme. J'ai fait en sorte de te le montrer et je ne pense pas que cela t'ait mal réussi, non ?
- C'est que...
- Ha ha, tu rougis, gros bêta. Bon, pour en revenir à ce que je disais, Bernard et moi, on a un peu papillonné pendant une période. On pratiquait l'amour libre comme beaucoup de gens qui étaient ados dans les années 70. Mais il a fini par trouver une jeunette qui le faisait davantage bander que moi et là, je te l'avoue, j'ai pris un petit coup de vieux.
- On ne le dirait pas à te voir, tu es resplendissante ce soir.
- Merci, tu es gentil. Je dois reconnaitre que je ne suis pas entrée au couvent pour autant. Mais jamais je n'ai forniqué avec mes étudiants, ni avec mes collègues. Une femme qui baise trouve toujours à baiser. Tu ne crois pas ?
- Euh... oui, je suppose...
- Et toi, tu prends toujours ton pied avec ta femme ?
- Ben oui, en général, ça dépend de sa forme et de la mienne, on bosse beaucoup.
- Jamais ...
... un petit coup de canif dans le contrat ?
- Euh, si une fois, en déplacement, je me sentais un peu seul et...
- Comme ce soir ?
- Ben non puisque tu es là.
- Fais pas l'idiot. J'ai envie de baiser et toi aussi. J'ai envie de voir ta queue, de la sucer et de me la mettre bien profond là où tu veux. Cela ne te rappelle rien, ce discours ?
- Si...
- Tu bandes ?
- Oui...
- Reste où tu es, je vais passer sous la table.
Stupéfait et sans réaction, Frédéric vit son hôtesse disparaitre en même temps qu'il la sentit tirer sur la fermeture éclair de sa braguette et dégager un membre beaucoup trop à l'étroit en ces circonstances particulières. Une sensation délicieuse l'envahit alors. Françoise venait de le prendre en bouche. Il l'aida en se relevant de son siège à faire glisser son ensemble slip-pantalon (ou inversement) afin de dégager les couilles dont elle s'empara d'une main légère tout en poursuivant son travail buccal autour du gland. Jamais Frédéric ne s'était trouvé dans une situation pareille et il savoura l'instant. Au bout d'un moment, Françoise réapparut au-dessus de la table. Son chignon s'était défait, ses cheveux tombaient maintenant sur ses épaules et son rouge à lèvres s'était complètement dissous.
- Alors, tu as aimé ? gloussa-t-elle.
- Tu es suceuse sublime, Françoise, lâcha Frédéric dans un souffle.
- Tu n'as encore rien vu. Allez, on va au lit, on débarrassera après, j'ai très envie de toi.
Et Frédéric suivit son hôtesse dans la ...