1. L'étalon aiguille (Tome 3) (2)


    Datte: 29/06/2021, Catégories: Transexuels Auteur: Sam Botte, Source: Xstory

    ... caresse sensuelle qui nous faisait vibrer au sens propre du terme.
    
    Nous commencions à très bien connaître le corps de l’autre et ses réactions, c’est pourquoi chaque fois que l’une d’entre nous devinait la jouissance imminente de l’autre, elle cassait volontairement le rythme. A ce petit jeu, nous finîmes malgré tout par perdre tout contrôle et nous arrivâmes à l’orgasme en même temps.
    
    Elle redressa un peu la tête et la tourna sur le coté. Je devinai qu’elle sourit en découvrant l’état paroxystique dans lequel se trouvait son mari !
    
    — Si tu voyais ça, Sam ! Ce pauvre Phil en est à essayer de se frotter par terre pour se soulager ! Mais il ne peut pas, attaché comme il l’est…
    
    — Je te trouve cruelle sur ce coup là. Lui, il t’avait laissé une main de libre, au moins…
    
    — Ça fait partie du jeu. Il n’en jouira que plus fort tout à l’heure. Et puis, tu sais, lui aussi, il aime ça… Et moi, ce que je voudrais maintenant, c’est te prendre en levrette. Tu veux bien?
    
    — Oui.
    
    Je devinai qu’elle se harnachait à nouveau avec le gode ceinture tout en me demandant de me mettre à quatre pattes. Je sentis ses mains descendre de sous mes aisselles jusqu’à mes hanches avant qu’elle ne me pénètre en douceur. Elle s’enfonça en moi sans rencontrer la moindre résistance et se mit à me besogner.
    
    Au bout de quelques minutes, elle me souffla "Ne bouge pas" et se retira. Je m’attendais à ce qu’elle me sodomise et retint ma respiration, mais je crus deviner qu’elle s’éloignait un ...
    ... instant. Je me dis qu’elle allait peut-être soulager Philippe et me détendis. Malgré tous mes efforts, je n’entendis soudain plus aucun bruit. Et puis, sans que je n’aie rien senti venir, un phallus s’introduisit à nouveau dans mon vagin. Quand je reconnus l’origine du soupir poussé dans mon dos, je ne pouvais plus rien faire : le sexe de Philippe venait de passer la barrière de mes petites lèvres…
    
    J’étais partagée entre l’envie de crier "Non" et celle de sentir cette queue aller et venir au plus profond de moi. En fait, la chose qui me gênait le plus, c’était que cette queue appartienne à Philippe ! Je tentai mollement de me débattre en gémissant "Non, non…", mais c’est Tiffanny elle-même qui me répondit d’un ton à la fois doux et sans appel.
    
    — Si, si… Ne cherche pas à aller contre ton plaisir.
    
    — Mais, c’est Philippe !
    
    — Et alors? "Ne te fais pas de nœuds au cerveau", comme tu dis ! Tu es une femme, maintenant, ça change tout. Allez, va, profites-en… Tiens, attends, on va faire mieux encore…
    
    Suivant là les désirs de son épouse, Phil se retira, s’allongea sur le dos et me prit la main. J’avais à peine fini de m’installer sur lui que, s’aidant de la main, il enfonça son phallus entre mes jambes. Il commença à me faire l’amour ainsi, en levrette. Tiffanny ne tarda pas à venir s’agenouiller à ma droite. Se mêlant à notre étreinte, elle embrassa (et embrasa) tout mon corps.
    
    Sa bouche se posa délicatement sur ma toison pubienne. Sous mon bandeau, je fermai les yeux ...
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