1. Livreur de pizzas


    Datte: 29/06/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Le Matou libertin, Source: Hds

    Depuis que j’ai seize ans, j’ai trouvé un job de livreur de pizzas et autres spécialités dans un restaurant italien réputé de la ville. Je m’efforce de faire mon travail le mieux possible à chaque période de vacances scolaires et lors des longs weekends.
    
    Mon patron est content de moi et les clients satisfaits de ma rapidité et de ma gentillesse. Contrairement à ce que l’on peut croire, ce ne sont pas uniquement les moins de trente ans qui ainsi, se font livrer de la nourriture à domicile.
    
    Au cours des dernières vacances de Noël, il m’est arrivé une aventure que je vais vous raconter. C’était le dernier soir du premier week-end de l’année nouvelle. Vers 22 heures, le responsable de la pizzéria a reçu la commande d’une pizza aux fruits de mer et d’une portion de lasagnes. Comme l’adresse se trouvait dans mon quartier, c’est à moi que la livraison a été attribuée. Ainsi, je pourrais rentrer directement chez moi en conservant le scooter jusqu’au lendemain, à charge pour moi de le ramener avant 16 heures.
    
    Je connaissais bien cet immeuble cossu et j’étais assez surpris de devoir y effectuer une livraison. Je sonnai à la porte du hall au nom indiqué. En même temps que l’ouvre porte fonctionnait j’entendis une voix au titre chaud me dire :
    
    • Montez, prenez l’ascenseur de droite et c’est le dernier étage.
    
    Quand la porte palière s’ouvrit, je reconnus une belle femme que j’avais déjà croisée à plusieurs reprises en ville :
    
    • Ah, c’est toi Bertrand ! Entre vite te ...
    ... réchauffer un peu.
    
    Elle fit entrer en ouvrant en grand sa porte restée entrebâillée. Elle vérifia rapidement la livraison. Je n’avais rien à encaisser car le paiement avait été fait par carte bancaire au moment de la commande. Elle me demanda :
    
    • Veux-tu une boisson chaude ? Un chocolat ? Oui ? Je vais en préparer un, tu le boiras pendant que je mangerai la pizza.
    
    Elle me servit près d’elle sur la table basse du salon. Nous avons commencé à bavarder de choses et d’autres. Mathilde, alors qu’elle semblait prête pour la nuit, n’était visiblement pas pressée de me voir partir et moi je me trouvais bien en sa compagnie.
    
    En plus dans la chaleur douillette de son appartement je me réchauffais doucement.
    
    Elle portait une robe d’hôtesse en satin mordoré qui s’harmonisait bien avec ses cheveux roux. Assise sur le divan, elle ne s’était sans doute pas aperçue que les pans s’étaient ouverts et laissaient voir à moitié ses cuisses fuselées. Mon regard était comme magnétisé, mes yeux revenaient sans cesses entre ses cuisses et mon sexe commençait à se manifester dans mon boxer. Soudain elle éclata de rire en voyant mon trouble grandissant :
    
    • Coquin ! Tu voudrais en voir plus !
    
    En se levant elle fit glisser sa robe. Dessous, elle portait un déshabillé court en dentelle transparente de couleur marron avec des motifs blancs et un string assorti.
    
    Waouh qu’elle était belle dans la maturité de sa quarantaine.
    
    Ma bite s’est brusquement sentie trop à l’étroit.
    
    J’étais ...
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