-
This is the end
Datte: 29/06/2021, Catégories: fh, handicap, humilié(e), vengeance, chantage, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral policier, fantastiqu, Auteur: Rain, Source: Revebebe
... fusil de chasse dissimulé dans un coffre dans une chambre et une trentaine d’euros dans un pot en terre dans la cuisine. Je chute de deux mètres et, lorsque je me relève, mes yeux affolés rencontrent ceux du chien dont la gueule écume de la bave épaisse qui coule en longs filets des deux côtés de ses mâchoires. Il fonce sur moi ! Je ramasse le fusil et presse la détente qui fait un petitclic. L’arme n’est pas chargée ! Le chien bondit, sa gueule s’ouvre en grand et se referme sur ma cuisse. Les quinze premières secondes, je ne sens absolument rien. Puis, arrive la douleur accompagnée de la peur. De violentes sensations de brûlure irradient ma cuisse. Le haut de mon pantalon est devenu rouge. Les crocs sont toujours profondément plantés dans ma cuisse et la saloperie secoue sa tête, ce qui déchire un peu plus la chair. Je récupère le fusil que la morsure m’a fait lâcher et frappe le crâne du cabot avec la crosse. Au premier impact, il desserre sa mâchoire et, avant qu’il tente d’achever de me becter la guibolle, je lui aplatis la truffe une nouvelle fois avec la crosse. J’entends uncrac ainsi qu’un jappement suivi des gémissements canins caractéristiques de douleur : le fameux « kaïe-kaïe ». Le chien détale. Je suis fou de rage. Je farfouille dans la poche interne de ma veste à la recherche de balles. J’espère qu’il s’agit du même calibre que mon fusil à canon scié abandonné dans la Poste. Je glisse la première dans la chambre. Elle s’y insère sans ...
... problème. Même si j’aime les animaux, si cet enfoiré revient, je lui fais sauter la cervelle ! Ma jambe me lance, la douleur l’a complètement envahie, ce qui me fait boiter. Je me traîne dans le jardin sans me soucier d’être vu. De toute manière, je suis tellement furieux que le premier qui croise ma route connaîtra mon courroux. Le chien est parti loin apparemment. Peut-être l’ai-je tué ? Cette pensée m’inquiète alors qu’il m’a arraché une partie de la cuisse que je n’ose pas regarder sous le vêtement par crainte de tourner de l’œil. Au bout d’un quart d’heure où je me traîne au bord de la route, je réalise que je n’ai plus le poulet fermier ! Je l’ai laissé comme un con dans la cuisine où j’ai dérobé le pognon. Le hurlement que je pousse pour maudire ma stupidité brise la quiétude de la campagne environnante. 000 À mi-chemin, la souffrance est devenue insupportable, je fais une pause et retire mon pantalon pour constater l’ampleur des dégâts. Ce n’est pas beau à voir ! Sous l’épaisse croûte de sang à moitié sec, ma cuisse est lacérée à plusieurs endroits. Des morceaux de chairs encore rattachés par des filaments de peau pendouillent jusqu’à mon genou, le tout baignant dans mon propre sang. Cette vision provoque un haut-le-cœur et je détourne le regard pour éviter l’évanouissement. Je me fais un garrot à la cuisse avec un morceau de mon T-shirt et retrouve mes compagnons trois heures plus tard. Il m’aura fallu six fois plus de temps qu’à l’aller ! Lorsque je ...